• 2021 06 15 génuflexion et politique sportive

    Simple "rappel à la loi"

    Mettre un genou à terre est une manifestation politique et un geste importé d’Amérique

    Le football est soumis à une obligation de neutralité.

    La règle 51 de la Charte olympique ou encore la Loi 4 de la FIFA excluent, en principe, toute forme d’expression politique ou religieuse sur les terrains de sport.

    2021 06 15 Foot Fr-De Munich (BLM - Greenpeace !)

    Il y a 21 ans, la France remportait l’Euro

    ... et les joueurs "se levaient tous pour Danette". Aujourd’hui, ils se prosternent devant le conformisme ambiant.

    Mais un militant de Greenpeace a volé mardi soir [15/06/21] la vedette aux Bleus, qui ne se sont finalement pas agenouillés.

    Les joueurs de l’équipe de France étaient pourtant prêts

    ... à s’exécuter et à délivrer leur message genou à terre hier soir, un concours de circonstances les en a empêchés.

    Un militant de Greenpeace en parachute, qui voulait de son côté faire passer un message anti-nucléaire, a heurté un câble juste avant le match gagné par l’Équipe de France, faisant deux blessés et manquant de s’écraser en tribune !

    Source et suite dans Causeur

    Voir aussi

    Leostic, Terzian : journalisme à la française (une honte !)

    Léa Leostic "pigiste pour Europe 1 et RMC Sport (deux groupes concurrents)", Hélène Terzian "ancienne élève de l’ESJ de Lille (la crème des écoles de journalisme) journaliste au service… politique (!) d’Europe 1". Les deux n’avaient probablement pas envie de rester trop tard dans les bureaux de la rue des Cévennes et ont préféré écrire leur papier avant de coup d’envoi du match France-Allemagne. C’est ainsi qu’elles y expliquent clairement que l’équipe de France a posé les genoux à terre. Et se demandent même : réitéreront-il ce geste lors du match suivant ?

    Le problème est que si ces "journalistes" dûment encartées avait eu un chouïa de professionnalisme, elles auraient regardé le match avant d’écrire le papier. Et auraient ainsi découvert que non, décidément, non, l’équipe de France est restée debout. [...]

    Et ce soir-là, la France entière, rivée devant son poste de télé, a pu constater l’exact inverse de ce qu’ont inventé deux journalistes encartées qui avaient juste envie de vite rentrer à la maison, au lieu de faire leur travail correctement.

    Maurice Siegel doit se retourner dans sa tombe.

    Source La Lettre Patriote 16/06/2021 [archive]

    "Le mouvement Black Lives Matter est une escroquerie, personne ne devrait ployer le genou" Stella Kamnga

    Boulevard Voltaire 15/06/2021 [PDF sans media]

    Lorsque les Bleus ont fait savoir qu'ils allaient poser le genou à terre, une vague de réactions négatives a déferlé sur les réseaux sociaux. D'autres sélections ont aussi été critiquées pour cette même initiative. C'est le cas de l'Angleterre, qui a entendu quelques huées lors de son match à domicile contre la Croatie dimanche [13/06/21] (victoire 1-0). À Saint-Pétersbourg, l'équipe belge a été copieusement sifflée lorsqu'elle a mis le genou à terre face à la Russie. (rmcsport.bfmtv.com)

    En Hongrie, on préfère vivre debout que mourir à genoux

    ... Ce à quoi on ne s’attendait pas jusqu’à l’élection d’Orbán, c’est que les Hongrois devinssent le porte-étendard de l’Occident. Une langue même pas indo-européenne, un pays martelé par la fureur du communisme, un pays enclavé, hésitant entre la vieille Europe et le monde slave ! Et pourtant…

    Dernier acte de bravoure en date, ce match mardi 08 juin [2021] qui opposait, à Budapest, les Hongrois aux Irlandais. Avant la rencontre, bien sûr, petite minute Black Lives Matter obligatoire.

    Les Irlandais, bien sûr, imbibés de propagande jusqu’à la moelle, ont mis un genou à terre, dans ce triste geste de soumission désormais bien connu. Triple salto arrière dans la tombe de Michael Collins : tant de courage nationaliste pour devenir des marionnettes du mondialisme.

    Les Hongrois, eux, sont restés debout mais, surtout, leurs supporters ont copieusement hué les Irlandais. La vidéo est impressionnante – et assez jubilatoire, on peut le dire.

    Source et suite dans Boulevard Voltaire 11/06/2021 [archive sans vidéo]