• Fête des Mères 2022

    dimanche 29 mai 2022

    Bonne fête à toutes les mères du monde

    Fête de ''Maman d'amour''

    "La Dernière Fête" est le nom d’un roman un peu nostalgique de La Varende. 2022 sera-t-elle l’année de la dernière fête des mères ? Si, du côté de l’Éducation nationale, aucune consigne n'a été donnée, les médias ne parlent que de ça : "Pour rendre cette fête traditionnelle plus inclusive et représentative des différentes situations familiales, ces professeur.es des écoles ont décidé de célébrer la fête des gens qu’on aime, voire de ne pas marquer le coup du tout", peut-on ainsi lire sur le site de "Elle". Le magazine manie l’indigeste écriture inclusive pour faire montre de son grand féminisme mais ne s’insurge aucunement de la suppression d’une reconnaissance proprement féminine, de "ce privilège exorbitant d’enfanter", comme disait Françoise Héritier.

    Source et suite Boulevard Voltaire 28/05/2022 [archive]

    "Instinctivement, s’il m’était posé la question : "Quelle représentation de l’amour maternel vous vient en premier à l’esprit ?", je vous répondrais : "la Vierge Marie".

    Toute les mères du monde reçoivent, en cadeau, cet amour offert par notre mère à tous. Tuer la fête des mères, c’est s’attaquer à notre civilisation chrétienne. Comme vous, chère Gabrielle, je ferais bien la fête à tous ces gens qui ne nous aiment pas."

    (internaute Michel)

    N'oublions pas notre maman du Ciel !

    J’ai compris que la sainte Vierge veillait sur moi, que j’étais son enfant...

    Je ne pouvais plus lui donner que le nom de Maman car il me semblait encore plus tendre que celui de Mère.

    Transmis par Sainte Thérèse de Lisieux le 29 mai 2022 - #Thérèse

    Vierge à l'entant debout et ''le monde''

    Oh ! je voudrais chanter, Marie, pourquoi je t'aime.

    Pourquoi ton nom si doux fait tressaillir mon cœur.

    Transmis par Sainte Thérèse de Lisieux le 28 mai 2022 - #Thérèse

    Thérèse, Jésus et la Vierge - Tableau de Céline

    À propos de ce tableau

    "Peinture de Céline. Au départ c'était Thérèse seule qui tenait jésus dans ses bras, la main gauche de la vierge (à droite sur le tableau) est celle de Thérèse. Céline n'a pas eu la permission pour cette représentation. Elle a transformé l'affaire en ajoutant la vierge et agrandissant le tableau initial." (internaute Christine)

    Voir Carmel de Lisieux

    Voir aussi

    Carmel

    Carmel (Ordres religieux)

     

    "Merci pour cet article [extrait ci-dessous] qui démontre bien le nihilisme ambiant. J'ajouterai que ce nihilisme contient aussi les notions d’eugénisme, d’inversion des valeurs morales et éthiques, le déni de nos racines, de nos cultures, de notre spiritualité (toutes religions confondues)." (internaute Tara)

    [...]

    La fête des Mères a été instaurée en France en 1906 dans un village d’Isère *, par une initiative locale visant à récompenser et à soutenir les mères de familles nombreuses, puis déclarée fête nationale en 1929. Célébrée de diverses façons depuis au moins la Grèce antique, elle est le signe immémorial d’un culte, élément constitutif de culture, à la fécondité incarnée. Or, on prétend maintenant nous en dissuader moralement. On aurait tort de sous-estimer la nuisance d’un courant qui paraît aujourd’hui marginal. Car, demain, selon une logique liberticide irrépressible et irréversible, on nous interdira socialement, puis légalement, cette célébration. C’est ainsi que, par une altération de l’esprit moderne, penser à l’envers nous amène à raisonner de travers et à faire des choix pervers.

    * Voir 10 juin 1906 : La grande Fête mutualiste (PDF)

    Dans l’air vicié du temps plus déréglé que le climat, on voudrait remplacer la fête des Mères par l’évocation, niaise et anonyme, de « tous ceux qu’on aime », c’est-à-dire personne en particulier. Au motif fallacieux de ne pas frustrer les orphelins, sous prétexte captieux que cette fête serait discriminatoire envers les enfants élevés par des couples transgenres, qui les privent d’une identité indispensable au développement équilibré de leur personnalité. Notre instinct s’y refuse, notre nature s’y oppose.

    L’antidote aux délires transidentitaires importés d’outre-Atlantique n’est pas politique ni scientifique, mais mystique et poétique. L’œuvre de l’écrivain et poète Christian Bobin est un hymne profond et magnifique à la femme et à la mère. Vivant reclus dans un endroit bucolique au cœur de la Bourgogne, il y vit un voyage vertical quotidien très inspirant. Lire et relire Le Très-Bas, consacré à saint François d’Assise, La Grande Vie et ses dizaines d’autres romans, essais et recueils, est ressourçant. « Il est bon pour un enfant d'avoir ses deux parents, chacun le protégeant de l'autre : le père pour le garder d'une mère trop dévorante, la mère pour le garder d'un père trop souverain. » Chacun a sa place, unique et irremplaçable. C’est dans l’ordre naturel des choses.

    Boulevard Voltaire 29/05/2022 [archive]

    "Continuons dans la poésie : 'Oh l’amour d’une mère, pain doux que nul n’oublie, chacun en a sa part, et tous l’ont tout entière' et rappelons, pour être incorrect, que Jésus avait une Mère appelée Marie." (internaute Pounet)

    Lire aussi. Un doute vient à propos de la fête nationale : doit-elle être comprise dans la fête de tous ceux qu’on aime ? (Boulevard Voltaire 31/05/2022)

     

    Documentation

    Voir SPIRITU-ACTUALITÉS 22

    Marie

    Chapelet

    Mai de Marie

    Prière à la Mère de Dieu (JPG)

    Des femmes et des mères

    À la gloire de nos mères ! (Causeur 29/05/2022)

    À toutes les Mères

    Prier avec les Mères (Les Mères)

    Du "féminisme"

    Femmes 1925

    Femmes 1960

     

     

     

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