• Français - écriture inclusive et... chimpanzés

    Page mise à jour en mai 2020

    Écriture inclusive et... chimpanzés

    Français - écriture inclusive et... chimpanzés

    Dans le langage comme partout il existe des lois universelles

    Parmi celles-ci, la loi de Zipf et la loi de Menzerath.

    La première, dite aussi principe d’abréviation ou d’efficience, établit que l’amplitude d’un signal est inversement proportionnelle à sa fréquence – voilà pourquoi les mots les plus usités ont généralement tendance à être les plus courts.

    Selon la seconde, les structures linguistiques plus longues sont constituées de parties, d’éléments de langages plus courts (la taille d’une structure linguistique est inversement proportionnelle à celle des éléments qui la constituent) : "Plus le tout est grand, plus ses constituants sont petits". Concrètement, cela se traduit par des structures longues constituées de syllabes plus courtes : "plus un mot est long, plus ses syllabes sont brèves".

    Ce qu’il y a de cocasse avec ces formules, c’est qu’elles sont loin de se limiter au langage articulé.

    La loi de Zipf se retrouve ainsi chez les cris de macaques, de ouistitis, de chauves-souris ou encore dans les mouvements des dauphins lorsqu’ils remontent à la surface pour faire le plein d’oxygène.

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    D'après "Mesdames et messieurs les chimpanzé.e.s" (Causeur). La suite... réservée aux abonnés :-(

    Une découverte majeure

    La découverte majeure résultant d'une étude (l’équipe de chercheurs de l’Université de Roehampton, qui, depuis 2007, a notamment trouvé des similarités dans le langage humain et celui des chimpanzés) est que les règles du langage humain, évoquées ci-dessus (et détaillées plus bas) s’appliquent également pour les chimpanzés. Leurs gestes les plus fréquents ont tendance à être assez courts, et les gestes plus longs sont souvent interrompus par plusieurs gestes plus courts. En effet, il suffit de remplacer nos mots par leurs gestes, deux éléments de langages distincts, et vous arriverez à la même conclusion que ces chercheurs.

    C’est une découverte incroyable qui met en lumière la complexité de la communication à travers nos deux espèces. Fondamentalement, même si les systèmes de communications sont radicalement différents, l’Homme et le Chimpanzé utilisent les mêmes principes mathématiques de base.

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    La communication des chimpanzés suit les mêmes règles que le langage humain (DGS)
    [archive sans la vidéo]

    [https://www.dailymotion.com/video/x72eg7g]

    Retour sur les "lois"

    [https://www.dailymotion.com/video/x749pwx]

    La loi de Zipf

    La loi de Zipf est une observation empirique concernant la fréquence des mots dans un texte. Elle a pris le nom de son auteur, George Kingsley Zipf (1902-1950). Cette loi a d'abord été formulée par Jean-Baptiste Estoup 1 et a été par la suite démontrée à partir de formules de Shannon par Benoît Mandelbrot. Elle est parfois utilisée en dehors de ce contexte, par exemple, la taille et le nombre des villes dans chaque pays, lorsque cette loi semble mieux répondre aux chiffres que la loi de Pareto 2.

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    Notes de Wikipédia

    1 Micheline Petruszewycz, « L'histoire de la loi d'Estoup-Zipf : documents », Mathématiques et sciences humaines, vol. 44,‎ 1973, p. 41-56
    Recherche et téléchargement d’archives de revues mathématiques numérisées
    L'histoire de la loi d'Estoup-Zipf : documents
    Texte intégral en PDF

    2 Benoît Mandelbrot, « Étude de la loi d'Estoup et de Zipf : fréquences des mots dans le discours », dans Logique, langage et théorie de l'information, Paris, Presses universitaires de France, 1957, p. 22-53
    lire en ligne [archive]

    Voir aussi Les lois de Zipf et de Mandelbrot [archive sans la vidéo]

    [en] [https://www.youtube.com/watch?v=0Yku0GTrcuw]

    Thème approchant, voir Perspective avant Argument

    La loi de Menzerath

    Nous savons que le langage humain respecte des règles bien spécifiques. L’une de ces règles [...] la loi de Menzerath, dit que les grandes structures de langage ont tendance à être composées de multiples syllabes.

    Voici un passage très intéressant du Professeur émérite Marc Hug, Université Marc Bloch de Strasbourg, relevé dans son travail intitulé La loi de Menzerath appliquée à un ensemble de textes d'avril 2004 (p. 3), à considérer face à l'intrusion de l'écriture inclusive avec ses points noirs...

    Définition de la phrase et du mot

    Les deux niveaux sur lesquels j'ai travaillé sont deux niveaux qu'on peut considérer comme éloignés l'un de l'autre : celui du mot et celui de la phrase. J'ai étudié le rapport qui peut exister entre le nombre de mots dont se compose la phrase et le nombre de lettres écrites, [responsables] de phonèmes, dont se compose le mot.

    Je partais d'une définition du mot telle qu'elle est pratiquée dans la base FRANTEXT * : un mot est toute suite continue de caractères alphabétiques ; l'apostrophe est considérée comme un signe alphabétique en ce sens qu'il entre dans la composition du mot qui le précède, mais elle est toujours considérée comme une limite de mot (dernière lettre du mot) ; tout trait d'union, tout signe de ponctuation, parenthèse etc., tout chiffre est considéré comme un mot. Les points de suspension sont considérés comme un seul mot. Par extension, j'ai considéré aussi comme un seul mot les cas exceptionnels dans lesquels plusieurs points d'interrogation ou d'exclamation se suivent.

    La limite de phrase a été fixée de manière aussi simpliste : tout point, point d'interrogation, point d'exclamation, point-virgule ou deux-points est considéré comme une fin de phrase, et la ponctuation en question est le dernier mot de la phrase.

    Il va de soi que ces définitions sont linguistiquement peu satisfaisantes. Mais en s'inspirant de la règle qui veut que "l'essentiel est que cette norme soit constante" (Muller 1973: 10), on peut se dire que les conclusions seront tout de même valables, puisque le traitement informatique nous garantit la constance de la norme. Il sera tout de même prudent de s'en assurer.

    Tout de même, on a cru utile d'intervenir sur les textes pour éviter de trouver des "fins de phrase" chaque fois qu'un prénom est noté par son initiale suivie d'un point, ou lorsqu'une personnalité est désignée par "M. ..."(Monsieur) Le point qui suit etc. est en revanche peu gênant, car la plupart du temps cette abréviation se rencontre en fin de phrase. On n'a pas touché non plus aux mots aujourd'hui et quelqu'un, qui ont donc été coupés en deux "mots".

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    * Présentation et accès à FRANTEXT
    Site du laboratoire ATILF (Analyse et Traitement Informatique de la Langue Française)

    Autant l’écriture inclusive était nécessaire pour des noms de professions qui n’incluaient pas de féminins, même pour professeurs ! (dont le corps comprend une grande majorité féminine, vu de manière globale) mais se torturer l’esprit pour en arriver à « Chers·ères tous·tes deux » relève t-il de l’intelligence neutralisante ? D’autant que « chère X et cher Y » finit par devenir comparativement moins court… Et l’intelligence neutralisante peut-elle s’avérer toujours propice à la liberté d’expression pour tous les genres et toutes les catégories ? (internaute Schmilblick, 24 novembre 2017 in L'écriture inclusive séparatrice - voir aussi Mauvais genres)

    L'écriture inclusive

    Pourquoi ce débat sur l’écriture inclusive ou la féminisation des mots ?

    Auteure/Autrice, Lecteure/Lectrice ? Quand la langue cherche un féminin (vendredi 08 mars 2019, à l'occasion de la journée internationale des droits de la femme *)

    Rappel contexte : Une première conférence, destinée aux étudiant.e.s et personnels de l’Université de Lorraine | UL et du CNRS, a eu lieu le 12 avril 2018 [archive] à l’ATILF, laboratoire situé sur le campus Lettres et Sciences Humaines | CLSH. L’idée de cette conférence était d’aborder la question de l’écriture inclusive en adoptant le point de vue de la langue. Aussi le débat médiatique qui l’avait accompagnée en 2017 - 2018 a montré toute l’importance des enjeux linguistiques et politiques de cette question. Fort de ce succès de l’an passé, les trois intervenant.e.s : Julie Abbou, docteure en sciences du langage rattachée au LPL (CNRS - Aix-Marseille Université), Sophie Bailly, professeure en sciences du langage, ATILF et Christophe Benzitoun, maître de conférence en sciences du langage, ATILF et Sandrine Ollinger, initiatrice du sujet, ont souhaité pousser cette conférence-débat au-delà des murs du CLSH.

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    * Remarque : quelque chose me chagrine dans cette petite note historique. En effet, on y trouve écrit, outre quelques autres fautes qui me surprennent venant d'un site "sérieux", qui plus est orienté vers la langue française... bon bref : "Le 23 février 1917 (calendrier grégorien) correspondant au 8 mars dans notre calendrier (julien)..." Or c'est notre calendrier qui est grégorien ! C'est "un calendrier solaire conçu à la fin du XVIe siècle pour corriger la dérive séculaire du calendrier julien alors en usage" selon mon pdf, qui poursuit : "Le lendemain du jeudi 4 octobre 1582, les Romains se réveillèrent le vendredi... 15 octobre 1582. Cette nuit du 4 au 15 octobre 1582 avait été choisie par le pape Grégoire XIII pour l'entrée en application de sa réforme du calendrier julien, ainsi nommé d'après Jules César". Ce qui fait un bond de 11 jours... Or, du 23 février ou 8 mars, il y a plus que 11 jours... Deuxième interrogation...

    Voir aussi Cinq idées reçues sur l’écriture inclusive (Le Monde)

    Il y a pire oppression que celle du masculin sur le féminin... l'oppression de la langue française sur les langues dites régionales qui se meurent depuis Grévy... (internaute Alexandre-le-Grand-64, 24 novembre 2017)

    Bannir l'écriture inclusive ?

    Le premier ministre, Édouard Philippe, a donné consigne aux membres du gouvernement de bannir des textes officiels cette forme d’écriture qui remet en cause la règle d’accord de la langue française selon laquelle, au pluriel, « le masculin l’emporte sur le féminin »

    « Je vous invite, en particulier pour les textes destinés à être publiés au Journal officiel de la République française, à ne pas faire usage de l’écriture dite inclusive », écrit le chef du gouvernement, dans cette circulaire à paraître mercredi 22 novembre [2017] dans ce même JO.

    « Outre le respect du formalisme propre aux actes de nature juridique, les administrations relevant de L’État doivent se conformer aux règles grammaticales et syntaxiques, notamment pour des raisons d’intelligibilité et de clarté de la norme », argue-t-il.

    Édouard Philippe précise par ailleurs les règles d’accords qui doivent s’appliquer dans les textes administratifs. Dans les textes réglementaires « le masculin est une forme neutre qu’il convient d’utiliser pour les termes susceptibles de s’appliquer aux femmes », dit-il.

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    Remarque. La vidéo que j'avais intégrée ici n'est désormais plus disponible. Elle provenait de l'article du Monde [archive] [archive plus ancienne] dont est tiré le paragraphe ci-dessus.

    Choix de quelques commentaires du 21 novembre 2017

    Le neutre s'applique à tout ce qui n'est ni masculin, ni féminin (là vous devriez suivre). Et le neutre, en français, s'écrit comme le masculin (là, la simple logique devrait faire que vous suivez). Donc, la polémique du "masculin prédomine sur le féminin" ne devrait être qu'un souvenir d'un autre temps. Alors pourquoi faut-il que des imbéciles (neutre : il y a certainement des hommes et des femmes) en fasse une telle médiatisation ? (internaute Bfree) Voir Mauvais genres

    Tant mieux. En tant que féministe, je suis révoltée qu'on perde notre temps avec une absurdité pareille : phrases illisibles, dualité homme/femme systématique - sympa pour les trans et queers! - et puis surtout impact très incertain ! Et en attendant, toujours pas de vrai congé paternité : faut pas s'étonner de la persistance des inégalités salariales, domestiques quand il est encore inscrit dans la loi que la mère est le parent par défaut et l'homme à peine plus qu'un géniteur. (internaute Une meuf) 

    Je craque, 300 réactions pour cette cause dérisoire qui ne changera rien de rien à la condition féminine et qui accessoirement peut nuire un peu plus à ceux dont l'orthographe chancelle. (internaute Dérisoire) Voir Œil et dyslexie

    Attendez, il faut bien s'amuser un peu. Édouard Philippe a sifflé la fin de la récré, comme quoi, un premier ministre qui a normalement le sens de l'humour peut aussi être rabat-joie ! (internaute DFR)

    Merci Édouard. Si on pouvait passer aux vrais sujets. (internaute Ah Bon ?)

    Il y a un problème grave avec l'écriture inclusive telle que que nous l'ont concoctée les militantes féministes : pour les transgenres et tous ceux-celles qui se réclament du 3ème sexe, on fait quoi ? Il faut de toute urgence que les associations LGBT s'emparent du sujet et mènent la lutte pour que l'écriture inclusive prenne en compte leur cas. Halte à l'ostracisme contre les minorités sexuelles !! (internaute Candide) Voir Mauvais genres

    Si les femmes veulent l'égalité parfaite, elles devraient aussi demander à mourir 5 ans plus tôt en moyenne, pour équilibrer les espérances de vie. (internaute Langelot)

    À mon avis, l'écriture inclusive ne résistera pas à l'usage, tout comme le calendrier républicain (qui dura un petit peu plus qu'une décennie). Mais lui au moins était joliment poétique... (Gigeoju)

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    Voir, de Gigeoju

    Féminisme Elle était une fois en 2020

    Français - écriture inclusiveeee Commentaire de Gigeoju 2017

    Français - inclusive.e.e.e...

    Français - inclusive... le point noir exclusif

    Autres liens externes

    Alain Rey : « L'écriture inclusive est vouée à l'échec » (Le Figaro)

    Écriture inclusive : Les Eeee nous envahissent ! [archive version 'abrégée'] (Hérodote)

    Écriture inclusive : Quand le féminin fait débat (Projet Voltaire)

    L’écriture inclusive (Solutions d’orthographe)

    L'écriture inclusive séparatrice (Mezetulle)

    Choix de quelques commentaires

    Après m’être essayé [...] à l’écriture inclusive, pardon je voulais dire à l’écrit inclusif (parce que y en a marre que l’écriture soit du genre féminin), je dois dire que j’en ressens… comment dire sans froisser personne… toute la « vacuité » d’une telle démarche…
    Je ne suis pas dans la tête des femmes qui se sentent exclues par les normes grammaticales actuelles, aussi je voudrais bien qu’elles m’expliquent par quel mystère de la pensée, elles arrivent à croire mordicus que le langage n’est que l’expression d’un machisme rétrograde, et pire que celui-ci induirait et perpétuerait par sa forme une hégémonie masculine.
    Tandis que par ailleurs, pensent-elles sérieusement que c’est en changeant « le » forme qu’on changera « la » fond [...] ? À ce que je sache, les langues qui ont un genre neutre (justement comme l’anglais qui réserve le genre féminin ou masculin aux personnes et aux animaux) ne génèrent pas moins de machisme… Faut-il croire qu’il n’y aurait pas de luttes plus urgentes à mener pour en faire un sujet des luttes féministes ?
    Que d’énergie dépensée pour une exigence qui vire à la pantalonnade... (internaute Incognitototo, 03 novembre 2017) 

    Merci de souligner la dissociation entre langue et « société » par exemple au sujet des langues qui ont un genre neutre – idem pour l’allemand, et on peut aussi souligner que les langues où la « féminisation » est très facile (comme l’espagnol) ne sont pas nécessairement le reflet d’une société où le sexisme et le machisme sont inconnus. L’article d’André Perrin aborde la question de manière plus complète. (Catherine Kintzler en réponse à Incognitototo, 04 novembre 2017)

    Merci [...] Incognitototo, pour ce billet bienvenu, il reflète tout à fait ce que je pense ! Je ne sais si c’est le cas, mais vous auriez grand tort de croire que toutes les femmes (ou presque) se sentent enragées de se dire que « le masculin l’emporte sur le féminin » – moi, une femme, j’enrage plutôt contre cette nouvelle lubie, venue de je ne sais qui, je ne sais où, et que JAMAIS, personnellement, je n’utiliserai, quelles que soient les suites de cette nouvelle ânerie !
    Par ailleurs, bêtement, pour suivre le courant, j’ai parfois ces derniers temps dit ou écrit « celles et ceux », « bonsoir les amis et amies », etc., FINI, terminé ! Je reviens définitivement à UN seul terme. Et si j’écris un jour à un couple de mes amis, je commencerai précisément par : « Chers amiS ».
    Il faut reconnaître que le mot « l’emporte » dans la règle [le masculin l’emporte sur le féminin] est plus que maladroit ! Même si un être intelligent comprend parfaitement que l’on est là strictement sur le plan grammatical, nous savons hélas ! par de trop nombreux exemples que certaiNS sont imperméables à l’humour, au 2eme degré, à une compréhension sous-entendue… Dans les lieux scolaires, je trouverais judicieux que ce terme soit remplacé par un autre, ou alors qu’en même temps on EXPLIQUE BIEN aux élèves qu’il ne s’agit pas d’une question de prééminence, mais simplement d’une convention relative au langage, à la grammaire... (internaute Caspard Annette en réponse à Incognitototo)

    [...] Mélanger le combat pour l’égalité des droits à la visibilité dans l’écrit et la formulation sonore à l’oral, est ridicule, une fois de plus. Les exemples proposés sont lumineux. L’actualité de cet article [d’André Perrin], probante.
    Et encore ! comme quoi le pire est toujours à venir, il ne s’agissait pas à l’époque d’écriture inclusive.
    Justement, quelle époque, cet article ? Trois, 3, ans… [2014] non seulement rien ne s’est calmé, mais tout a empiré… à une vitesse sidérante.
    Dans ma région, le Préfet, nouvellement nommé, est une dame. Elle a exigé que parlant d’elle, dans la presse, on dise : Le Préfet de [...] suivi de son nom. Je constate que tout le monde a obtempéré, en rapportant, dans les articles sur sa prise de fonction, cette exigence. Mais sans la commenter. Aussi, toujours dans l’article de 2014, la bienvenue distinction entre métier, fonction, titre etc., est remarquable ! [Un] rappel indispensable. (internaute Pascale, 07 novembre 2017)

    [Cet] avatar du politiquement correct que vous analysez est bien moins récent que vous ne le croyez : en 1995, je venais d’arriver à Toulouse. J’ai bientôt été invitée à exposer mes peintures dans un local associatif. Municipal sauf erreur. Comme il se trouve que j’écris, je l’ai signalé dans ma présentation. Dans sa propre présentation, le responsable m’a qualifiée de « poétesse ». J’ai protesté (courtoisement). Il a convenu que c’est malsonnant, il a corrigé. Quelle couche de connerie (mot dérivé du masculin « con » qui désigne un organe féminin) faut-il pour féminiser « poète » ou « peintre » ? Je n’ose me pencher là-dessus... (AYIN BEOTHY 12 novembre 2017)

     

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