• ⊗ L'art de la guerre

    Page créée en février 2019

    L'Art de la Guerre

    Le but premier de l'art martial médiéval n'est pas d'apprendre à tuer mais à survivre, la mort de l'adversaire n'est qu'un moyen parmi d'autre d'atteindre cet objectif. Il est d'ailleurs dès l'époque féodale bien plus efficace de capturer son adversaire (rançon)

    Escrime et Arts Martiaux Historiques Européens

    L'art de la guerre

    Magyar - voir ARTS MARTIAUX Baranta (Hongrie)

    Un art martial est un style ou une école dont l’enseignement porte principalement sur des techniques de combat, à mains nues ou avec arme. Historiquement, cet apprentissage intègre une dimension spirituelle et morale visant à la maîtrise de soi (essentielle, tant pour renoncer au combat s'il est évitable, que pour y faire face dans le cas contraire), et s’enrichit de multiples connaissances (culturelles, philosophiques et médicales, notamment). Ainsi, les arts martiaux visent au développement global de l’individu. 

    Vu dans Arts martiaux et Sport de combat

    Pour avoir une idée d’esprit d’un guerrier on peut commencer par lire Carlos Castaneda et pratiquer l'aïkido… Lire L'Art de la Guerre, livre très passionnant – une référence – n’est pas facile pour cette simple raison : notre compréhension humaine est toujours attirée par les détails au lieu de voir l’essentiel – ce ne sont pas les tactiques qui comptent dans ce livre mais la flexibilité d’esprit du leader et sa capacité de mettre les causes et les conséquences à leur juste place. C'est un effort intellectuel à fournir, mais c’est ça qui est drôle, aussi. Il est impressionnant de constater que 2500 ans plus tard, on peut retrouver les mêmes principes. Et une fois qu'on les a acquis, on peut les adapter à n’importe quelle situation. (Condensé de commentaires)

    Violence vs Combats pour la bonne cause

    Extrait d'un message de Sophie Merle (07 mai 2013)

    « [...] Heureusement le débat lancé en faveur des mangeurs de viande pour les laisser faire ce qui leur plaît (sans pour autant les approuver) a enfin perdu de son mordant. Finis les messages hargneux à mon égard pour avoir osé aborder un sujet pareil dans un récent courrier.

    Messages que je n'ai pas divulgués publiquement, ce que j'en retiens c'est que nos combats pour la bonne cause sont emplis d'une colère noire chez certains. D'un côté ils veulent faire cesser le carnage animalier (et qui serait contre parmi nous ?) et de l'autre ils massacreraient volontiers à mains nues n'importe qui ayant le culot de se risquer à émettre des idées un peu différentes des leurs.

    Il faudrait savoir. Soit nous sommes pour un monde non-violent où le vivant sous toutes ses expressions est sacré ou pour un monde de sauvages où l'on s'entre-tue à la moindre anicroche. C'est soit l'un soit l'autre. Il n'y a rien au milieu. Soit nous arborons de la haine pour quelqu'un ou quelque chose soit nous n'en arborons pas. Nous ne pouvons pas haïr juste un petit peu !

    Ayant été "élevée" en grande partie dans les coups et les punitions, le tout assaisonné d'une violence verbale inouïe, je connais bien le sujet. La colère des autres me fait aussi peur que la mienne. Alors comment fait-on pour y échapper ?

    Que faire lorsqu'on a envie d'exploser ? Que faire lorsqu'on ressent une haine farouche pour son voisin ou collègue de travail ? Ou envers une situation, comme par exemple quand malgré nos suppliques notre conjoint continue de faire quelque chose qui nous énerve au plus haut point ? La réponse est claire. On se calme !

    Or se calmer en certaines situations c'est vite dit. Parce que de pouvoir se calmer indique que les racines de la colère ressentie n'existent plus. En d'autres mots que les programmes inconscients qui nous font réagir toujours de la même manière (en automates) ont été effacés de notre registre d'action. Sans ce gommage, la colère ne peut que s'amplifier.

    Lorsqu'on sort de ses gonds on peut être certain que la situation qui d'évidence nous met si en colère n'a en fin de compte rien à y voir. C'est bien plus profond que ça. Cela provient d'anciens traumatismes que nous aurions tout intérêt à guérir plutôt que de monter inutilement au créneau. [...] »

     

    Vu dans Rugby

     

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    L'esprit guerrier

    « Pour dominer nos adversaires au combat, il ne nous suffit pas d’être en nombre suffisant, bien équipés, bien entrainés et bien commandés. Pour gagner, il nous faut un supplément d’âme : l’esprit guerrier.

    Il recouvre plusieurs dimensions :

    - la première est l’aguerrissement, c’est-à-dire la maîtrise des compétences permettant de remplir sa mission dans les conditions les plus exigeantes ;

    - la deuxième a trait à l’utilisation de la haute technologie pour prendre l’ascendant sur l’adversaire ;

    - enfin, la troisième dimension de cet esprit guerrier est celle de nos traditions militaires, car un guerrier renforce sa volonté de vaincre en puisant dans son héritage des raisons de se battre et de se tenir droit. » (Armée de Terre)

    Vidéo sortie le 07 janvier 2019

    [https://www.youtube.com/watch?v=kwKe6083kEo]

     

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