• Survivalisme 1 Vivre autonome

    Vivre autonome

    Lettre d'Antoine (24/12/2020) Apprendre Préparer Survivre - Vidéos YouTube

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    Survivalisme 2 Plus fort et résistant

    Survivalisme 3 Quand il n’y aura plus rien à manger

    Je viens de la campagne bretonne

    Pas la Bretagne de carte postale du bord de mer, mais la Bretagne profonde. Mes parents avaient acheté une vieille ferme qu’on a entièrement retapée en famille. 

    La forêt était mon terrain de jeu, j'ai appris à la comprendre, à la respecter. On m’a enseigné le travail manuel, la débrouille...

    Le bon sens... 

    Je suis parti étudier dans une grande ville

    Je suis passé des champs aux immeubles. 

    Ça a été un choc quand j’ai découvert l'assistanat des citadins. La plupart d’entre eux vivent dans une bulle, une cage dorée. Ils méprisent la campagne et ceux qui y vivent. 

    Mais aucun de mes amis citadins ne savait comment planter un clou... Ils sont incapables de gérer le moindre problème. 

    Ils sont dépendants des autres. 

    J’ai travaillé en Suisse, dans la finance

    Après mes études, j’ai rejoint un cabinet de conseil en investissement en Suisse. J’ai bossé comme un malade pendant des années, bien loin des 35 heures... 

    Petit à petit, j’ai monté les échelons. J’ai géré des équipes et j’ai fini directeur. 

    J’ai vu passer des sommes folles, plusieurs centaines d’années de salaire de mes parents. Mais j’ai surtout vu la fragilité du système financier de l’intérieur. 

    C’est un château de cartes qui peut s’effondrer à tout moment.

    Moi aussi, j’ai failli tomber dans le piège

    En ville tout est simple, il n’y a rien à faire, il suffit de se laisser porter. 

    Pourquoi s'embêter à faire un potager quand il suffit d’aller à la supérette du coin de rue ? Pourquoi s'embêter à couper du bois pour se chauffer quand l’immeuble a le chauffage central ? 

    Mais au bout d’un moment, je me suis réveillé. Je me suis rendu compte du cercle vicieux du confort et de l’assistanat. La société moderne nous affaiblit, elle nous rend dépendants. 

    C’est là que j’ai découvert le survivalisme. 

    Je vis maintenant dans ma BAD, ma Base Autonome Durable 

    J’ai économisé pendant des années pour atteindre mon but, pour m’acheter ma BAD. C’est une vieille ferme en pierre des années 1800, perdue dans un village de montagne. 

    Depuis mon bureau je vois passer les chamois. Petit à petit, je l'aménage pour la rendre la plus autonome possible, en eau, en nourriture et en énergie. 

    Je me prépare. 

    Antoine est un pseudo 

    Le survivalisme est souvent mal vu par ceux qui ne le connaissent pas. Les médias propagent une fausse image de nous. 

    Je vis dans un petit village où tout le monde se connaît, j’ai une famille, je veux la préserver. Je ne montrerai pas non plus ma tête, je n’y vois pas l'intérêt. 

    Garder mon anonymat est le meilleur moyen que j’ai trouvé pour pouvoir dire ce que je pense.

    Sans me censurer.

    J’essaye d’écrire le plus régulièrement possible 

    Je jongle entre l’écriture, ma famille et mon travail. À travers mes messages je présente ma vision du survivalisme, simple et pragmatique, qui vous aideront à vous préparer, à gagner en autonomie et à faire face aux chocs du quotidien. 

    Ma récompense c’est de recevoir des messages de lecteurs qui me disent qu’ils se sont inscrits à un cours de secourisme, à un stage de survie ou qu’ils ont préparé un sac d'évacuation d’urgence. 

    Préparez-vous !

     

    Documentation

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    La Maison rustique du XIXe siècle

    C’est une bible et un guide idéal pour tous ceux qui souhaitent vivre en totale autonomie. Une véritable encyclopédie d’agriculture et d’économie rurale.

    Les techniques sont quasiment les mêmes aujourd’hui qu’il y a 200 ans ! On pourrait croire qu’un "vieux manuel écrit au XIXe siècle" n’a plus rien à voir avec les techniques actuelles. Mais à part la mécanisation, les engrais chimiques et la permaculture, les principes agricoles sont en grande partie restés les mêmes.

    Survivalisme 1 La bible de l’autonomie totale (aperçu)

    L’importance du savoir des anciens. On a tendance à chercher la dernière technique à la mode. Mais en survie, comme en autonomie, c’est souvent du côté des anciens qu’il faut chercher. Pourquoi perdre du temps à réinventer quelque chose quand on peut avoir accès à des siècles d’expérience ?

    Tout le savoir du XIXe siècle

    Survivalisme 1 La bible de l’autonomie totale 5 vol.

    • La culture des plantes, légumes, arbres fruitiers, etc. mais aussi l’importance du sol, du climat, des insectes…
    • L’élevage : comment nourrir, soigner, faire se reproduire et consommer les animaux ;
    • L’outillage : confectionner du matériel pour produire, transporter, transformer…
    • Le travail des différents matériaux, bois, métal, plantes, terre...
    • Le soin des maladies les plus courantes avec des remèdes naturels ;
    • La construction : habitations, étables, poulaillers...
    • Et quantité d’autres connaissances utiles et précieuses.

    Télécharger

    Tome 1 : Agriculture

    Télécharger : https://drive.google.com/file/d/17bgRRZv_lMXBpDZpzGt2HwAPHzKli4xw

    Tome 2 : Cultures industrielles et animaux domestiques

    Télécharger : https://drive.google.com/file/d/1NS8YdovNGXgg4w6LMuGZxOGgVAz2kTvG

    Tome 3 : Arts agricoles

    Télécharger : https://drive.google.com/file/d/1bRdACf4vnq6qLRPwDDG4rEQbfI9oOCr5

    Tome 4 : Agriculture forestière, législation et administration rurale

    Télécharger : https://drive.google.com/file/d/1eOhGI3Rezodi07WgS6xbvUizdS6cH_db

    Tome 5 : Les Meilleures Méthodes de Culture Usitées En France Et à l'Étranger  Horticulture

    “Nous n’avons pas voulu enseigner, mais seulement venir en aide à la mémoire de ceux qui savent.” La Maison rustique du XIXe, tome 5

    Télécharger : https://drive.google.com/file/d/1MFptuI44uTSWOZ1pokOzKCEn8tHWnC76

    Attention "Impossible de prévisualiser le fichier. Ce fichier est trop volumineux"
    Si vous téléchargez quand même, sachez que "Google Drive ne peut pas effectuer l'analyse antivirus de ce fichier"


    Les meilleurs alliés contre les nuits fraîches

    En hiver, vous pouvez profiter du linge de lit pour vous protéger du froid, sans oublier, bien sûr, l'importance d'avoir un chauffage efficace dans la chambre, qui ne soit ni trop chaud ni trop froid (on conseille 16 à 19°C maxi. pour une chambre)

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    • Pour le matelas voir Survivalisme 2 "Futon"
    • Voir aussi HIVER

     

    Certaines matières sont tout indiquées pour composer votre linge d'hiver. Certaines ont même la capacité d'absorber la chaleur et à restituer de la fraicheur. C'est notamment le cas du lin. Il s'agit d'une fibre naturelle qui a des capacités thermorégulatrices : à son contact on a une sensation de fraîcheur en été et une sensation de chaleur en hiver. Cela est dû à la présence d'air maintenu entre ses fibres, lui donnant ainsi un pouvoir isolant.

    La même propriété est attribuée à la soie. Fraîche l'été et chaude l'hiver, elle agit en plus comme une barrière isolante en conservant la chaleur de votre corps durant la nuit. C'est aussi une matière très douce, agréable pour la peau. Tout particulièrement recommandée si vous avez des problèmes de peau, et que vous n'aimez pas que le tissu gratte.

    La flanelle peut être utilisée en linge de lit. Dans ce cas elle n'est pas en tissu de laine mais en coton, c'est pourquoi on l'appelle parfois coton gratté ou, plus familièrement, pilou. Elle a l'avantage d'être à la fois douce et chaude, ce qui plaît particulièrement aux enfants. Toutefois, contrairement à la soie ou au lin, c'est une matière chaude qu'il est difficile de supporter l'été. On choisit donc la flanelle dans le cas d'une chambre très fraîche, dont la température ne dépasse jamais les 18°C.

    Il existe des couettes d'hiver et des couettes d'été. Pour compléter votre linge de lit, choisissez une couette en fonction de son grammage (poids du garnissage). Plus celui-ci est élevé, plus votre couette est chaude et isolante. Cependant, veillez à ne pas trop vous couvrir non plus. Si votre chambre est déjà "bien chauffée", inutile d'en rajouter pour ne pas perturber votre sommeil.

    Vous pouvez aussi réchauffer votre lit en posant un édredon ou un boutis sur la couette. Ceci est particulièrement adapté aux frileux qui ont envie d'avoir chaud toute la nuit. Le boutis prend généralement moins de place que l'édredon, à placer au bout du lit, au niveau des pieds. 

    Survivalisme 1 Boutis

    Un boutis gris "jeté" sur le lit

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    Et puis une astuce "de grand-mère" bien connue : la traditionnelle bouillotte ! À glisser entre les draps au moment du coucher ou un peu avant, et se laisser envahir par sa chaleur réconfortante... Économique et simple !

    Déco.fr

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