En ce qui concerne la signification des mots, dans l'intro de mon article Les couleurs du Yoga (Yantra, 04/10/2013), une ébauche de présentation des différents styles de Yoga, j'avais déjà soulevé le problème et écrit :
Avant de parler de quelque chose, quelle qu'elle soit, il faut d'abord se demander si l'on connaît le sujet. Si l'on ne le maîtrise pas, à quoi bon émettre ses opinions... Cela ne fait pas de sens. Mon premier article ('Où l'on discute des problèmes liés au Yoga') l'a démontré qui a soulevé des remarques mal avisées à propos du Yoga, montrant que ceux qui les ont dites non seulement n'y connaissent pas grand'chose mais sont aussi victimes des a priori et des conventions que l'on nous impose.
Et en ce qui concerne le choix des mots, dans mon article Où l'on discute des problèmes liés au Yoga (Yantra, 28/09/2013), dans lequel je décortiquais différentes publications en lutte contre les supposés "méfaits" de la pratique du Yoga, j'avais écrit :
Quand on veut « descendre » quelque chose, on choisit avec soin un exemple choquant, dramatique, extrême...
C’est l’inverse de la publicité, qui vante, exagérément, un produit en le parant de mille vertus, dont il n’a guère que quelques « pour mille ».
L’honnête personne qui lit ou entend de tels propos a du mal à cerner le juste milieu (hi, hi, hi, c’est le but recherché !!!) : car il y a du vrai –même infinitésimal– dans la critique, qu’elle soit bonne ou mauvaise.
Il n'y a pas que l'émission
La réception aussi peut être de mauvaise qualité.
Je m'explique : une personne peut employer un mot "juste" que son interlocuteur prendra "mal" parce qu'il le l'aura pas compris, ne le connaîtra pas ou encore aura une autre interprétation de sa signification...
Ceci est important à souligner, et à ne pas négliger, car une incompréhension de celui qui "reçoit" peut amener à des conflits inexplicables pour celui qui a émis et qui s'était pourtant exprimé en toute bonne foi et sans arrière-pensée, du moins le croyait-il...
Ce qui est dit ou écrit est toujours transformé, parce que personne ne comprend
les choses de la même manière ; de plus il y a l'obstacle de la langue
— CELA CONTINUE DE NOS JOURS !!! [...]
Tamsyn 34 (voir la rubrique Calendriers au 06 janvier)
À l'oral comme à l'écrit
Les confusions et amalgames se situent autant au niveau des mots qu'à celui de la parole.
Il est regrettable de constater que ces incompréhensions pointées du doigt dans un domaine particulier (science, sport, politique, emploi, etc.) ne sont pas généralisés dans les autres. Pourtant... les relations humaines ne changent qu'en surface, selon les lieux, les coutumes ou autres conventions, mais le fond reste le même... avec les mêmes problèmes.
- À l'oral, les "coachs de développement personnel" (sans ironie !) recommandent de demander à son interlocuteur de "reformuler" sa phrase ou, du moins, d'expliquer tel terme qui n'est pas clair ; ceci peut paraître être une impolitesse ou une faiblesse pour certains qui, par orgueil (mal placé) ne se donneront pas la peine de le faire.
Dommage, car cela pourrait empêcher d'éventuels problèmes ultérieurs ; l'omission d'un mot important, mal compris donc évacué, peut faire une énorme différence...
Et si l'on ne comprend pas du tout ce que l'autre veut dire, malgré les efforts et la bonne volonté, plutôt que de polémiquer, il vaut mieux arrêter la "conversation" : il y a de toute évidence une incompréhension incompressible.
- Qu'on lise ou écrive, le dictionnaire doit toujours être à portée de main (ou d'écran). C'est un réflexe malheureusement abandonné chez bon nombre de scolaires et les enfants actuels ne savent même plus s'en servir.
Dommage là aussi, car il permettrait de mieux comprendre un texte ou d'enrichir celui qu'on est en train d'écrire (bon, c'est vrai, les jeunes et l'écriture, aujourd'hui, c'est plutôt contradictoire...).
- Un de mes profs de français disait que si on ne comprend pas un mot dans un texte, il y a de fortes probabilités que le contexte l'explique ; il faut donc lire l'ensemble et très souvent le sens du mot incompris émerge.
Vocabulaire
Les outils de communication actuels (SMS en tête) permettent très peu d'élaborer sa pensée, ne serait-ce écrire une phrase simple et correcte. Abréviations et autres signes caviardent un "texto", laissant peu de place à quelque chose de sensé. Ajouté à cela un appauvrissement du vocabulaire, situé en amont, dans les cours des écoles ou chez soi quand la télévision, parmi d'autres objets captivants et bavards, interdit tout échange en haussant le ton. |
Dans cette vie où l'on confond en fait "vitesse et précipitation", un résultat "pour hier" est attendu impérativement des salariés fébriles fragilisés par le stress ; un œil sur la montre, une oreille dans son écouteur, un en-cas à la main, on n'utilise même pas ces moments de pause pour prendre le temps de converser avec son voisin.
Peu de dialogues, donc, mais surtout des monologues superposés, des soliloques... guère de chance dans ce cas d'enrichir son vocabulaire ! Le danger est que l'on ne prend pas de recul par rapport à ses idées et l'expression de celles-ci ; le cerveau macère dans ses idées comme une mauvaise plaie macère dans son jus. Et pourtant l'avis des autres est important pour se construire et ouvrir d'autres horizons ; nous vivons en "société", ne l'oublions pas...
- Un peu comme ceux qui ne restent que dans ce qui les intéressent, alors qu'il est bon de "zapper" quelquefois sur des ouvrages, émissions, films... qui a priori n'attirent pas : cela peut susciter la découverte, la nuance dans ses convictions, mais aussi un renforcement ou une remise en question de celles-ci, et, pourquoi pas, un élargissement de son vocabulaire.
[...] il me paraît utile d’ouvrir une parenthèse sur le vocabulaire et les termes utilisés chez les yogis indiens.
Tout le monde connaît la subjectivité [1] des traductions *, surtout quand il s’agit de traduire une langue d’une culture aussi éloignée de la nôtre que celle, sacrée et ancienne, de l’Inde, le sanskrit. Termes hermétiques ou faisant référence à la mythologie indienne, comprise vraiment de quelques autochtones érudits, mots oubliés, mots trop vieux, puisque c’est une langue ancienne, comme peut l’être « notre » latin...
Quand il s’agit de postures, c’est le moindre mal, mais dès que l’on entre dans la philosophie, la morale, la méditation ou des notions comme « ascèse » ou « Kundalini », le plus grand soin et la plus grande honnêteté, dans la traduction et l’explication de ces thèmes, méritent d’être apportés, tant les propos mal interprétés (par ignorance ou intentionnellement, plus prosaïquement : des propos devenus bêtes et méchants *) peuvent, dans ces domaines, faire les plus grands ravages sur la santé tant physique que mentale *
* ... la Bible ?...
Où l'on discute des problèmes liés au Yoga, Yantra, 28 Septembre 2013
qui considère la réalité à travers ses seuls états de conscience
Du bas latin semanticus (du grec sêmantikos : "qui signifie"), la sémantique concerne le sens des mots. Son synonyme est : linguistique et son équivalent anglais : semantic (L'Internaute).
Le glissement sémantique consiste, lui, à étendre ou à changer la signification de certains termes traditionnels sans en changer la forme (Sylvie Teveny, anthropologue)
Voyez un extrait de mon pdf LES MOTS : Les mots sont des gens comme vous et moi
- En savoir +
- Linguistique : les mots du Dictionnaire de la langue française (L'Internaute)
- Dictionnaire de Sémantique
Un manque cruel de culture générale
Dans ce monde qui se veut "sans limites" grâce aux réseaux de l'Internet, on ne peut que malheureusement remarquer un effet inverse à ce qu'on pourrait en attendre : peu d'échanges constructifs, en somme, mais une augmentation des failles et incompréhensions entre les mentalités "t'as vu comme il est ? Il ne fait pas comme tout le monde [sous-entendu "comme moi"] parce que c'est un idiot...". |
[...] Nous sommes dans un monde de prêt-à-porter, de prêt-à-penser... pourquoi pas de ‘prêt-à-être-heureux’ ?
J’ai, à propos de ces partisans du moindre effort (et de la recherche d’une flatterie de l’ego) deux anecdotes : la première concerne une lettre d’une lectrice à un journaliste, qui avait produit un très bon article sur un sujet sensible de l’écologie et dans les règles de l’art, s'il vous plaît, c’est-à-dire sans porter de jugement ; elle lui reprochait, justement, de ne pas avoir donné son opinion sur le sujet : « comment puis-je avoir une idée du problème et en discuter, si vous ne donnez pas votre avis ? Comment dois-je penser ? » ; la deuxième concerne un pépé qui se plaignait auprès d’un magazine de fournir des mots croisés ‘trop difficiles’ ; il voulait des grilles faciles, facilement terminées (où est le plaisir dans ce cas, je me le demande... autant faire autre chose). Car l’homme vulgaire répugne à fournir le moindre effort, prendre un cachet ou appuyer sur un bouton, c’est bien moins fatigant [...]
Eh oui, combien les mots, le vocabulaire, l'orthographe, la syntaxe... sont de merveilleux outils qui aident à comprendre la vie mieux que quiconque ! Qu'il est dommage de mépriser ces amis ! Ils permettent de communiquer vraiment, ils permettent la poésie autant que l'information et sont utiles dans la vie quotidienne (modes d'emploi)
Réfléchissons un peu... ... avec le Projet Voltaire (www.projet-voltaire.fr) |
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Illettré ou analphabète ? Le 17 septembre 2014, sur Europe 1, le nouveau ministre de l’Économie Emmanuel Macron a qualifié les ouvrières de l’abattoir de Gad d’« illettrées ». Insulte [voir plus bas] pour certains, réalité pour d’autres, le mot a suscité une telle polémique que le ministre a fini par s’excuser de l’avoir employé. L’occasion de faire le point sur la signification d’« illettré » en lien avec « analphabète », avec lequel il est souvent confondu... |
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Savez-vous nommer les fautes ? Les fautes, on en commet, on les ignore, on les pardonne, on les corrige, on les déteste, on les combat, mais connaît-on leurs petits noms ? Pour commencer, on appelle cacographie le fait de mal écrire un mot. Et si l’on est fâché avec l’orthographe depuis l’école, qu’on a mal assimilé ses règles, on souffre sans doute de dysorthographie. Essayons à présent d’établir une typologie des fautes les plus courantes... |
- Quand j'étais formatrice, je disais à mes stagiaires que la condition numéro 1 pour engranger des informations, quelles qu'elles soient, est de faire preuve de curiosité.
Vous voulez avoir plus de précisions sur le fonctionnement de la Bourse ou les propriétés médicinales des champignons ? Allez voir tout d'abord un dictionnaire, une encyclopédie ! Sur papier ou virtuels, ces outils devraient rester le réflexe de base. On ne l'apprend plus guère à l'école et c'est bien dommage (voir plus haut À l'oral comme à l'écrit)
Rester centré sur son petit nombril, ne pas s'ouvrir au monde, ne s'intéresser qu'à des choses futiles laisse peu de place à la tolérance.
la peur rend agressif et peut faire faire n'importe quoi...
Le christianisme a combattu à plusieurs reprises dans son histoire les mêmes dérives... Un récapitulatif des meilleurs des articles de Croire.com sur l'islam. Pour une découverte approfondie d'une religion mal connue des chrétiens. Publié en janvier 2015 |
La moquerie est bien humaine - personne n'y échappe ! -, mais, si elle ne tourne pas en dérision, qui est une moquerie dédaigneuse, souvent accompagnée de mépris (syn. : raillerie, sarcasme, ironie), elle peut permettre d'attirer l'attention sur l'attitude de celui qui en est l'objet ("pourquoi se moque-t-on de moi ?")
jamais sur l'essence même de la personne
On peut critiquer une action, mais jamais la personne pour ce qu'elle est physiquement et intellectuellement : cela devient de l'insulte.
- Par exemple, critiquer un goinfre qui s'empiffre ou un enfant qui lance des cailloux aux oiseaux est une attitude positive, de la "correction".
- Se moquer de la couleur de peau d'un Africain ou de la maladresse d'un handicapé mental sont de bien vilaines attitudes, à la frontière de la bêtise ; c'est une insulte qui est offense *, une injure de fait (action) ou de parole, qui blesse quelqu'un dans sa dignité, dans son honneur.
Pour les croyants, l'offense est une faute, un péché qui... offense Dieu, un manquement à Dieu, et ses synonymes dans ce cas sont : blasphème, mortification.
Les 3 questions construisant le |
L'éthique, du mot grec signifiant : "la science morale" (de ethos : "lieu de vie, habitude, disposition psychique..." et du latin ethicus : "la morale"), est la partie de la philosophie qui envisage les fondements de la morale. C'est aussi l'ensemble des principes moraux qui sont à la base de la conduite de quelqu'un. Dans tous les cas, l’éthique vise à répondre à la question « Comment agir au mieux ? ». L'éthique a les deux pieds dans le réel : il ne s'agit pas que d'un ensemble de concepts abstraits. Cette notion est empreinte de nuances : rien n’est noir ni blanc. Il faut savoir nuancer les couleurs (Pierre Guénette, Enjeu tolérance, Montréal, Novalis)... |
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Bon, va pour "l'éthique". Mais pourquoi "étique" ? Parce que vous savez comme il est difficile, dans notre société "moderne" de prendre le temps de nourrir les "3 questions" avant d'agir : bien maigre sera le résultat. |
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Le moment des bonnes résolutions...
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Cependant, il me semble que l'article évoqué ci-dessous, malgré une supposée "contradiction" entre les dires de ces deux personnes, pointe du doigt une continuité dans le cheminement de leur pensée, qui met en avant un bel exemple d'emploi de "mots" et le danger de dépasser la frontière bien ténue de l'acceptable / inacceptable, ou alors c'est moi qui déraisonne.
Le pape a condamné à plusieurs reprises les attentats perpétrés à Paris la semaine [du mercredi 07 janvier 2015] et même prié pour les victimes des terroristes. Mais concernant la liberté d'expression revendiquée par la rédaction de Charlie Hebdo, le souverain pontife fait entendre son point de vue :
"Chacun a non seulement la liberté, le droit, mais aussi l'obligation de dire ce qu'il pense pour aider au bien commun.
Il est légitime d'user de cette liberté, mais sans offenser"
Le pape était interrogé sur la une de Charlie Hebdo dans l'avion qui l'amenait aux Philippines jeudi 15 janvier rapporte l'AFP. Il a notamment eu cette formule étonnante :
"Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s'attendre à un coup de poing, et c'est normal. On ne peut provoquer, on ne peut insulter la foi des autres, on ne peut la tourner en dérision !"
François considère donc que le cadre de la liberté d'expression fixé par les lois de la République française est critiquable. Un point de vue radicalement opposé à celui du gouvernement français et des institutions qu'il entend défendre [je ne vois pas en quoi ?!?] comme l'a rappelé encore ce jeudi la garde des Sceaux Christiane Taubira lors de la cérémonie d'obsèques du dessinateur Tignous :
"On peut tout dessiner, y compris un prophète parce qu'en France, pays de Voltaire et de l'irrévérence, on a le droit de se moquer de toutes les religions".
Éric Zemmour * n'a fait que son devoir de journaliste, il a observé sans jugement. Sous réserve que les mots rapportés du journaliste ne soient pas adoucis... où sont les offenses, dérision, voire moqueries, dans ses propos ? Faut‐il condamner l'évidence ?
"Seules les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longue date l'immigration de masse, échappent à cette violence de rue.""Privée de ses frontières, la France renoue dans les villes, mais aussi dans les campagnes, avec les grandes razzias, les pillages d'autrefois, les grandes invasions d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains qui dévalisent, violentent dépouillent et pillent."
"J'aurais, selon les magistrats, dépassé les limites autorisées du droit à la liberté d'expression. Je crois savoir ce qu'est la liberté d'expression [a poursuivi le journaliste, citant Montaigne, Voltaire et Zola].
Mais je ne sais pas ce que sont les limites de la liberté d'expression à l'heure actuelle en FRANCE ; où se situent-elles ? Qui les détermine ? Comment et au nom de quoi les fixe-t-on ?"
qui conduit un sujet à se soumettre facilement à toute suggestion et à y obéir
Il y a mentir pour mieux convaincre l'autre et l'embobiner. Comme nous venons de le voir, des gens peu scrupuleux manipulent et utilisent des gens fragiles ou faibles dans des buts peu avouables (l’appât du gain, mais aussi le sexe, la drogue... les classiques du genre, quoi) Il y a aussi mentir parce qu'on a honte et peur de perdre toute crédibilité face à l'autre. Pour se donner quelque valeur que l'on sait ne pas avoir... |
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Enfin, on dit qu'il y a mentir pour "préserver l'autre", sous le prétexte que "toute vérité n'est pas bonne à dire". Certes, le mot pourrait avoir là une connotation positive. Encore faut-il qu'il y ait vraiment un motif sérieux. |
Le mot secte en grec, équivalent de la secta latine (= une voie que l'on suit, un parti, une cause, une doctrine), est hairesis (= option, opinion, secte, parti). Une hérésie désignait d'abord le choix ou la préférence pour une doctrine, bien avant d'avoir la connotation péjorative que l'Église catholique lui connaît : celle de doctrine dissidente.
Certaines grandes religions actuelles furent, à l'origine, des sectes émanant de religions plus anciennes et déjà bien implantées. Ainsi, le christianisme s'est d'abord développé comme une secte au sein du judaïsme, dont il a repris une partie des enseignements. Néanmoins, ces religions ont acquis au fil du temps un grand nombre d'adeptes et une reconnaissance officielle importante.
Définition d'une secte de nos jours.
Une fois dans l'engrenage,
Tu ne vois plus passer ton âge.
Les sectes t'ont entièrement manipulé
Et ton corps entier leur est dédié.Elles font ce qu'elles veulent de toi,
Peuvent te faire faire n'importe quoi.
Durant tous ces moments avec elles,
Tu vis ta vie rien que pour elles.Au début, elles ne te demandent rien.
Peu après, elles s'emparent de tes biens,
Finissent par te vider de ton argent,
Et continuent en taxant les parents.Elles sont vraiment déterminées,
Et veulent l'accaparer.
Ensuite, elles détruisent ta famille
Qu'elles dispersent comme un jeu de quilles.Quand il ne reste plus rien,
Alors elles t'abandonnent et continuent leur chemin.
Elles trouveront un autre cobaye,
Qui, évidemment, sera de taille.Il se fera dépouiller comme toi.
Et après, ça recommencera.
Beaucoup de gens y passeront,
Alors un conseil : fais attention !!
Remarquable décomposition du phénomène sectaire, rédigée par une lycéenne (Céline, élève de Seconde) à la suite d'une conférence d'informations dans la région de Touraine (France), au cours de laquelle elle avait entendu des récits de témoignages (http://ns4005993.ip-192-99-13.net/sectinfo.htm)
« En dessous de la grande marée de l’histoire humaine, coulent les courants furtifs des sociétés secrètes qui, fréquemment, déterminent dans les profondeurs, les changements qui se manifestent en surface »
Chaos-controle.com
« [...] la Révolution française fut une falsification et une mystification.
Le peuple a été manipulé pour des raisons qui n’ont jamais été portées à sa connaissance. »
Plus près de nous,
Charlie Hebdo : il n’a fallu que 48 heures... et la France semble mordre à l’hameçon.
« Plutôt que de faire du meurtre des dessinateurs de Charlie Hebdo un crime — ce que c’était sans aucun doute —, le Premier Ministre Manuel Valls a transformé un meurtre en acte de guerre — ce que ça n’était pas. [...]
Et maintenant, les tueurs sont des martyrs dans une guerre sainte contre l’Occident. Les nations occidentales peuvent donc aligner plus de véhicules blindés, plus de sécurité dans les aéroports, plus d’écoutes et plus de dépenses — tout ça au nom de la protection des citoyens contre les fanatiques. »
Chaos-controle.com
Un article de L'Internaute.com Actualité
« [...] Depuis près de 10 ans je me bats pour défendre le développement du potentiel humain à travers la réconciliation entre science et spiritualité.
Pour cela, j'ai été critiqué, censuré, pénalisé par mon employeur, menacé ainsi que ma famille de violences physiques voire de mort. Mais je n'ai jamais arrêté car, quel que soit le prix à payer, chacun d'entre nous mérite la liberté et le respect.
Comme tout ce qui est important dans la vie, cela ne va pas de soi, c'est compliqué, on fait des erreurs... Mais ces valeurs méritent qu'on les vivent car elles ne s'usent que si on ne s'en sert pas.
Certains dessinent, chantent ou écrivent. N'ayant aucun talent artistique, ma façon de vivre et de faire vivre ces valeurs de liberté et de respect, tout en rendant hommage à tous ceux qui les défendent, c'est de continuer mes recherches entre science et spiritualité, puis de partager avec vous mes trouvailles pour que vous accomplissiez votre plein potentiel et viviez la vie merveilleuse que vous méritez [...] »
Claude Cléret, 16 janvier 2015 (Univers-cité)
Je reste persuadée que ce que je viens d'évoquer est la cause première de bien des mouvements de colère en ce monde. Manipulations des plus crédules, malnutrition des esprits, le petit grain de sable dans l'engrenage de la machine qui s'arrête, force, chauffe puis se disloque dans un désordre de fumée. Les thèmes ci-dessus abordés s'interpénètrent, s'interprètent mal. Ce ne sont pas les grandes souffrances qui sont au départ d'un feu - elles sont conséquences, générées à cause de ces trucs sournois, impalpables, comme les minuscules virus qui produisent de grandes épidémies ravageuses.
Liens intéressants
De la théorie du complot à la manipulation de masse
Gurdjieff sur les pièges de divers enseignements spirituels [PDF]
(Voir GURDJIEFF Georges I. 1877-1949)