Robert Kennedy Jr a délivré un discours historique ce samedi 29 août 2020 à Berlin devant une foule très importante - plus d’un million de personnes selon les organisateurs mais 38 000 selon les sources officielles.
[https://www.youtube.com/watch?v=T3x_hxDe6x8] YouTube 31/08/2020
Robert Francis Kennedy Jr. (né le 17 janvier 1954 à Washington, D.C), neveu de John Fitzgerald Kennedy (1917-1963), est un homme politique américain membre du Parti démocrate, avocat spécialisé dans le droit de l'environnement et militant anti-vaccination. Il s'est marié à l'actrice Cheryl Hines le 02 août 2014 (Wikipédia)
Pour infos ♥ ♥
Analyse de Philippe Guillemant
[Plusieurs d'entre vous disent ne pas pouvoir partager mon précédent post [Le Nouveau Web Média 2019] donc je le remets ici avec un autre lien qui ne sera pas censuré (francetvinfo)] :
Excellent discours de Kennedy hier à Berlin, qui confirme tout ce que je vous raconte depuis le confinement.
Le but de [toute l’ingénierie sociale liée à] la covid est, je cite Kennedy, de "commencer le processus de transfert vers une monnaie numérique qui est le début de l'esclavage".
Cette monnaie numérique a effectivement besoin d'une identification numérique corporelle et liberticide permise par la 5G. Voilà le vrai lien entre la covid et la 5G dont parle également Kennedy.
Souvenez-vous que l'effondrement financier mondial a commencé en septembre 2019 et que le hasard (théorie du gentil virus) ou une volonté humaine (théorie du gentil banquier) ont fait apparaître le virus juste après. Mais on n'a de toute façon pas besoin de connaître exactement la cause du virus pour comprendre qu'il est instrumentalisé par le pouvoir financier pour sauver le système actuel et instaurer le très grand marché des objets connectés [voir mon post du 24 août sur "... l'Internet des Corps (humains)"]
On peut donc comprendre la crise de la covid comme le moyen de nous conduire "en douceur" vers un "grand reset" financier (prévu pour 2021) qui, pour sauver le système c'est-à-dire prendre les mêmes banquiers et recommencer, a besoin d'instaurer une monnaie numérique mondiale, laquelle ne pourra fonctionner qu'au moyen d'une identification numérique forte et par conséquent corporelle, que certains appellent la marque de la bête.
Mais vous ne pouvez pas imposer aux peuples cette marque de la bête sans obligation vaccinale, CQFD.
Mais vous ne pouvez pas non plus imposer une obligation vaccinale si vous n'apprenez pas aux peuples à se soumettre à l'autorité. C'est une question de seuil : si trop de gens résistent à cette soumission, l'obligation vaccinale ne tiendra pas et ne permettra donc pas d'imposer la micro-puce d'identification numérique corporelle, etc.
D'habitude je vous explique que la fin du processus, c'est notre arrivée sur la dernière marche numéro 8 de l'escalier du transhumanisme [voir mon post du 15 juillet]. Mais Kennedy vient d'éclairer ici une marche supplémentaire de cet escalier, celle de la monnaie numérique qui se situe entre les marches 5 et 6 (micro-puce et traçage).
Si je résume les 9 marches nous avons donc :
(1) Confinement
(2) Dé-confinement
(3) Port du masque
(4) Vaccination
(5) Micro puce
(6) Monnaie numérique
(7) Traçage humain
(8) Interfaçage numérique de l'humain et
(9) Transhumanisme.
Nous sommes donc sur la marche (3) et pour grimper sur la (4) nous allons devoir nous soumettre massivement.
Sauf que je vous parie qu'on ne se soumettra pas, parce qu'il y a là une situation de panique des pouvoirs responsables, du pétage de plomb sidérant de nos médias et gouvernements face auquel les peuples ne pourrons jamais se soumettre... ou pas suffisamment en tout cas.
C'est ce que ce grand rassemblement de Berlin avec Kennedy met bien en évidence. J'aurais préféré qu'il ait lieu à Paris, mais il faut bien reconnaître que l'Allemagne est mieux placée que nous de par son expérience pour s'opposer à des mesures de nazis. Donc je n'ai pas honte que ce soit eux plutôt que nous qui soient les fers de lance de la révolution de l'humain contre le transhumain.
Il s'agit d'ailleurs de bien plus qu'une révolution: entre les marches (3) et (4), nous sommes exactement au grand tournant de l'histoire humaine qui nous fait passer du futur transhumain au futur de l'humain relié.
Le mot clé pour que nous continuions à monter est "SOUMISSION".
Pour bien comprendre que nous en sommes bien là, prenez par exemple les mesures d'obligation de port du masque debout dans la rue, mais pas assis à une terrasse dans la même rue, ou encore comme c'est le cas à Paris actuellement: port du masque obligatoire à un comptoir de restaurant, mais pas assis à une table de restaurant (encore plus sidérant).
Lorsque vous contestez on vous répond : ne cherchez pas, c'est une mesure technique, ce qui sous-entendrait que des calculs ont été faits par des scientistes pour mettre en évidence une probabilité moindre de transmission du virus lorsqu'on est assis plutôt que debout.
Je vous garantis que ces calculs n'ont jamais été faits ou que s'ils l'ont été via un modèle excessivement simpliste, ils sont forcément faux et inapplicables compte tenu de la complexité de l'affaire.
Non, la bonne explication de ces mesures est la suivante : il est impossible de soumettre quelqu'un au port du masque lorsqu'il peut vous répondre : "mais je suis en train de manger".
Ça n'a de toute façon aucune importance, l'important étant que la personne assise se soumette au port du masque lorsqu'elle se relève. Si elle capable de faire un truc aussi con, elle acceptera bien un marquage...
Rien à voir donc avec une létalité du virus, c'est de l’ingénierie sociale pure dans le but d'habituer un maximum de gens à se soumettre afin que l'humanité parvienne à monter les marches de l'escalier numérique.
Attention, n'allez pas dire quand-même aux porteurs de masques que ce sont des collabos. Donnez-leur l'info gentiment et laissez-leur le temps de comprendre doucement les choses. Laissez les s'éveiller à leur rythme.
« Si je n'ai pas la capacité de dire non, mon oui ne veut rien dire. »
Osho (????-1990)
Pour humilier, il faut être deux
« Pour humilier, il faut être deux. Celui qui humilie et celui qu'on veut humilier, mais surtout : celui qui veut bien se laisser humilier. Si ce dernier fait défaut, en d'autres termes si la partie passive est immunisée contre toute forme d'humiliation, les humiliations infligées s'évanouissent en fumée. Ce qui reste, ce sont des mesures vexatoires qui bouleversent la vie quotidienne, mais non cette humiliation ou cette oppression qui accable l'âme. »
Etty Hillesum (1914-1943)
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