Que sont devenus le maire, le curé et l’instituteur ?
Réaction de l'internaute Bluesun le 11/08/2020 dans Boulevard Voltaire
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Don Camillo et Peppone
Mai 1968, rien de comparable avec ce qui se passe depuis ces 40 dernières années.
Il y avait la peine de mort, celle ci avait le mérite de tuer l'intention avant de tuer la personne.
LA FRANCE, avait encore ses frontières, sa monnaie, son plein emploi, et charbonnier était maître chez lui.
Elle avait en effet, ses villes et village, avec maire, curé et ses querelles de clocher, ses instituteurs que la République faisait respecter, ils vendaient savoir, intelligence et morale. Instruction civique aussi.
Mais, il se dit que, dans toute existence on note une date où bifurque la destinée, soit vers une catastrophe, soit vers le succès.
Depuis 1981, la France paye au prix fort le recul de l’État.
Plus de peine de mort, la justice manque de fermeté, la France d'or se transforme petit à petit en plomb, et au bout du bout le plomb, elle se le prend dans l'aile.
Arrive alors le temps du baratin joyeux...Technique de l'apparence, ou la stratégie de l'illusion.
Quand pour le citoyen, sa folie, c'est re-voter chaque fois la même chose en espérant à chaque fois des résultats différents.
Après le peuple, ce sont les maires qui se font agresser, quand le curé voit sa cathédrale partir en fumée, ses églises se faire vandaliser, ou transformées en supermarché, ou autres hôtels de luxe.
Quant aux instituteurs, après se faire agresser, voire tabasser, ils se font braquer, quant à l'intelligence qu'ils vendent, c'est le vent qui distribue le diplôme prestigieux qu'était le BAC.
Un homme politique malhonnête est comme le cerf volant, il est gonflé de vent, il se pare de belles couleurs, et lorsqu'il vole, il est en général manipulé par quelqu'un qui tire les ficelles.
Mais le monde dont vous parlez avec nostalgie, l'homme politique de l'époque s'appelait DE GAULLE...
Aujourd'hui, on tague ses statues, on les déboulonne même, on peut se torcher avec le drapeau de son pays, sans aucune impunité, puisque qu'un autre joue les remplaçant. l'élu ne marche plus sur la Marseillaise, mais sur "l'hymne à la joie", pour venir dire que pour cause d'un virus, il n'y aura plus de plaisirs, plus de loisirs.
"J’ai personnellement vécu dan un pays musulman et j’ai vite compris que je n’avais pas le choix : ou je restais dans mon ghetto d’expatriés ou je m’assimilais à la population locale en en acceptant les valeurs, le mode de vie, les traditions et en expliquant les miennes" [Cf. article]
Le problème c'est que les Français eux n'ont plus le choix. Il sont pourtant dans leur pays, mais on leur dit qu'ils n'ont plus d'histoire, plus de culture, qu'ils sont devenus des RIENS.
Et si jamais ils osent expliquer leur mode de vie, leur culture, leur religion, leurs traditions, ont leur dit qu'ils sont racistes.
Mitterrand en vendant europe-mondialisation parlait de changement...
[rien à voir avec Mai 68 ?]
Depuis le départ de DE GAULLE, la France est orpheline. Elle a bien eu des tontons, mais ces tontons-là étaient des tontons flingueurs...
Dommage, la France aurait pu avoir une jolie tata... (d'un coup de pense à une chose, mais ce n'est pas politiquement correct)...
Macron est arrivé, neveu de tous les tontons...