Détox vaccinale : démonter les idées reçues

Chère lectrice, cher lecteur,

Depuis le début du mois de septembre, plus de 5 700 cas d'effets secondaires (dont 25% de cas graves) liés au vaccin anticovid19 ont été recensés^[a].

Bien que mon avis sur la vaccination ne soit pas le sujet du jour, je suis convaincu que chacun doit pouvoir agir pour atténuer les risques de complications.

Mon confrère Nicolas Wirth a décidé d’inviter Amin Gasmi pour une conférence exclusive sur la détox vaccinale. 

Ce chercheur français démonte les idées reçues sur les vaccins et offre les moyens d'en limiter les risques d’effets indésirables.

Je vous invite à voir (ou revoir) cette grande conférence, dont le lien se trouve dans le message ci-dessous.

Bien à vous, 

Sébastien Duparc

Chère lectrice, cher lecteur,

Une information circule beaucoup sur Internet en ce moment :

Les aiguilles de pin (et la suramine qu’elles contiennent) seraient capables d’inhiber la protéine Spike et donc de limiter le risque d’effets indésirables des vaccins.

Cette affirmation est partie de deux études scientifiques. Dès leur parution, des herboristes, naturopathes, médecins et autres personnes soucieuses des dangers des vaccins se sont emparés de l’information pour la diffuser sur les réseaux sociaux.

Or cette information est fausse.

Le sérieux des études scientifiques dépend de leur méthodologie, c’est-à-dire de la façon dont elles ont été menées.

Évidemment, tout le monde n’est pas capable de juger de la qualité d’une étude.
Il faut un certain niveau de connaissance pour savoir si celle-ci a été bien conduite.

C’est l’une des compétences d’Amin Gasmi, qui épluche quotidiennement la littérature scientifique et vérifie si leur méthodologie est bonne.

Dans sa conférence, il explique que les études sur la suramine ne sont malheureusement pas fiables.

D’autres études ultérieures, plus sérieuses, ont montré à l’inverse que l’action de la suramine (et donc des aiguilles de pin) était quasi-nulle.

Amin a listé cependant toutes les substances vraiment efficaces pour inhiber les effets de la protéine Spike et ainsi se protéger autant que possible des effets secondaires et complications des vaccins^[1].

Ce serait le cas par exemple de la fluoxine B, que l’on trouve dans la goyave, de la quercétine (câpres, oignons…) ou du resvératrol (raisin, vin).

Pour découvrir les détails de cette approche scientifique, je vous invite à suivre la conférence d’Amin à partir de 37’36 minutes et à vous inscrire à la série spéciale de lettres sur la détox vaccinale, en cliquant ici.