Éducation : une leçon de sagesse imprévue donnée par L'Obs - Boulevard Voltaire
Leçon de sagesse à l'éducation à méditer :
Les limites sont des interdits que l'on impose ; les repères sont des mains courantes que l'on explique.
Malgré cette phrase qui constitue une excellente base de réflexion, l'article est décousu et décevant, on ne sait pas où l’auteur veut en venir tant son raisonnement est coincé dans un ensemble mal construit. De plus, qualifier le freudisme "d’imposture" ne fait qu’indiquer son ignorance dans le domaine des psychanalyses (Freud, Jung) et, entre autres, leurs apports "humanisants" à la psychiatrie (à moins qu'il voulait faire de l'ironie, mais tout ceci n'est pas très clair).
En ce qui concerne Freud, il a dit que les parents devraient apprendre aux enfants ce qu’est la frustration. Ce dès le plus jeune âge. En termes choisis, voilà ce que disait le prof de psycho de l'internaute Tara : si l’enfant pleure ou appelle sa mère, la mère doit aller voir sans se faire voir si tout va bien, et si c’est le cas, ne pas répondre. L’enfant alors apprend à attendre et gère sa frustration. Puis lui apprendre que l’on doit choisir entre manger ou avoir le dernier Iphone... et ainsi de suite. Sinon, il ne saura pas gérer ces frustrations et deviendra colérique, voire violent si ses désirs ne sont pas comblés rapidement. Cela paraît tellement juste ! Et évident lorsque l’on voit la nouvelle génération...
Les parents éduquent, les grands parents transmettent, les maîtres enseignent. À part cela, il y a le quotidien usant pendant lequel il vaut mieux la jouer fine. Mais quelle activité humaine est plus vitale et plus valorisante ? C’est le seul métier de grande importance que l’éducation pour transformer les enfants en hommes. L’État l’a bien compris qui a, depuis les années 1930, retiré aux parents cette tâche au profit de l’EN ("Instruction Publique" => "Éducation Nationale") qui en fait de parfaits "socialistes" hurlants mais obéissants.
Y aurait-il donc des fessées et des claques qui se perdent ? Évidemment, la violence n’a rien à faire dans l’éducation, jusqu’à un point. Il y a des limites, elles doivent être inculquées. Les vieux principes éducatifs restent une base sûre... Dans "Autorité et amour" tout est dit.
D'après des commentaires d'internautes