« Quand un vrai génie paraît dans le monde, on le distingue à cette marque :
tous les sots se soulèvent contre lui. »
Élie Fréron
Élie Catherine Fréron, né à Quimper (29-Finistère) le 20 janvier 1718 et mort à Montrouge (actuel 92-Hauts-de-Seine) le 10 mars 1776 (58 ans) est un journaliste, critique littéraire et polémiste français, fils d’un orfèvre originaire d’Agen, Daniel Fréron, établi à Quimper en 1693, et de sa femme Marie-Anne Campion née à Pont-l'Abbé, parente éloignée de Malherbe,
Les origines
Vers 1693, Daniel Fréron, issu d'une famille ayant abjuré la foi protestante, originaire d'Agen – le berceau des Fréron est à Clairac depuis le XVIe siècle – quitte en 1693 sa lointaine Gascogne pour s'attacher comme compagnon auprès d'un maître orfèvre quimpérois, Jean Guillerm dont l'atelier est situé rue Kéréon.
Le sieur Guillerm décède en juin 1696. Sa veuve Françoise Le Feunteun prends pour second époux Daniel Fréron permettant ainsi la survie de son commerce. Ce mariage va assurer une certaine promotion sociale au nouvel arrivé. Celui-ci est confirmé dès 1697 comme maître orfèvre par la cour des monnaies de Nantes.
Trois enfants vont naître de cette union entre 1698 et 1701. Cette année là, Françoise Le Feunteun décède, probablement des suites de ses couches. En janvier 1702, notre maître orfèvre s'unit en seconde noce à une jeune orpheline du nom de Marie Pérudel. Pas moins de neuf poupons vont se succéder dans le berceau de la famille Fréron entre 1702 et 1712. A nouveau veuf en 1714, Daniel Fréron épouse en février 1715, Marie-Anne Campion, fille d'un notaire de Pont-l'Abbé. Ce sont encore six autres enfants qui vont voir le jour au sein d'une famille déjà pléthorique.
Le 17 janvier 1715, naît dans l'une des maisons de la rue Obscure, Élie Fréron, quinzième enfant du maître orfèvre quimpérois.
Les études
Élie Fréron débute ses études au collège de Quimper (ouvert depuis 1620) puis chez les Jésuites au collège Louis-le-Grand, où il entra comme novice en 1737 et resta jusqu’en 1739.
Avec des revenus assez médiocres et une telle charge de famille, malgré la disparition de sept enfants en bas âge, la famille Fréron est aux marges de la petite bourgeoisie et du monde des artisans besogneux. Le père, Daniel Fréron, doit certainement réaliser de lourds sacrifices pour instruire son fils Élie et payer ses études au collège de Quimper.
Élève prometteur, Élie est doté d'une excellente mémoire. Remarqué par ses professeurs, il bénéficie de l'appui d'un jésuite célèbre, le Père Bougeant, également quimpérois, qui parvient à le faire admettre en 1734 au collège royal Louis Le Grand à Paris où il lui enseigne l'histoire et les belles lettres. Il y suit également les cours de rhétorique administrés par le Père Porée, reconnu et apprécié par ses pairs et ses anciens élèves, dont Voltaire qui le tenait en haute estime.
Les humanités de Fréron s'achevant, le temps est venu pour lui d'entamer son noviciat rue du Pot-de-Fer. Il y séjourne une année.
En 1736, Elie Fréron est professeur de cinquième au collège jésuite de Caen. En 1738, il réintègre le collège Louis Le Grand, cette fois comme professeur de 5ème puis de 4ème.
Trop adonné aux occupations littéraires, il néglige les règles de son ordre. En 1739, une plainte est portée contre lui pour avoir été vu au théâtre en habits laïques. Privé de sa chaire, il est envoyé à Alençon, puis sollicite quelques temps plus tard d'être relevé de ses vœux. Le 10 avril 1739, il remercie ses maîtres et bienfaiteurs mais ne rompt pas pour autant avec l'état ecclésiastique.
Il lui faut maintenant trouver un travail pour assurer son existence. L'abbé de Boismorand lui conseille d'offrir sa plume à l'abbé Desfontaines alors à la tête de la revue, appréciée mais redoutée, Observations sur quelques écrits modernes et dont l'ennemi désigné est Voltaire.
Fréron reste aux côtés de Desfontaines quatre ans, le temps pour lui de faire l'apprentissage de la critique. C'est à cette période qu'il collabore à l'édition de Marie Stuart (1742) avec l'abbé de Marsy.
En 1743, Les Observations sont supprimées par le Conseil d’État à la suite d'une attaque de l'abbé Desfontaines à l'encontre de l'Académie.
Deux choix s'offrent à Élie Fréron : la critique littéraire où il excelle et la poésie pour laquelle il se passionne...
Le poète
Élie Fréron opte un temps pour la poésie.
Il compose en 1744 une ode sur les conquêtes du Roi qui remporte un franc succès auprès du public suivi d'une ode sur la convalescence du Roi. C'est à cette époque qu'il entre en franc-maçonnerie dont il devient un propagandiste zélé.
En 1745, fort de sa réussite, Fréron fait paraître une ode sur la bataille de Fontenoy qui lui vaut les faveurs des critiques face au poème de Fontenoy de Voltaire. Malgré des débuts littéraires remarqués et le succès de ses premiers essais, il décide d'abandonner la poésie au profit de la critique.
Le 1er septembre 1745, il entame la publication des Lettres de la comtesse qu'il signe sous le pseudonyme de Mme la Comtesse de.... La comtesse se propose d'écrire librement sa pensée sur les auteurs et les écrits de son siècle. Elle raille les auteurs, plaisante l'Académie et s'attaque à la favorite du Roi, Mme de Pompadour ce qui vaut à Elie Fréron d'être emprisonné à Vincennes du 17 janvier 1746 jusqu'au 12 mars puis exilé.
Au même moment, il accepte de remplacer Desfontaines, décédé en décembre, à l'académie de Montauban. Son exil forcé à Bar-sur-Seine est levé en juin et il rentre à Paris avec interdiction de publier aucun écrit sans approbation.
En janvier 1749, Fréron publie Les lettres sur quelques écrits de ce temps. Fréron entre immédiatement en matière par l'examen de Denys le tyran premier essai tragique de Marmontel, le protégé de Voltaire. Les hostilités entre Voltaire et Fréron sont désormais ouvertes : par critiques interposées, les deux auteurs s'en prennent l'un à l'autre.
Le 15 mars, les feuilles de Fréron sont supprimées sur ordre du chancelier d'Aguesseau, ami du philosophe éclairé. Les Lettres sur quelques écrits de ce temps reprennent cependant en 1750 jusqu'à l'année 1751 où un nouveau scandale éclate entre Voltaire et Fréron.
Malesherbes, alors directeur de la Librairie, ordonne la suppression des lettres. Mais en septembre 1752, le critique obtient le soutien de l'ancien roi de Pologne : "Rendez-nous les feuilles de monsieur Fréron, et tout le peuple vous en remerciera". Fréron reprend donc la plume avec la collaboration de l'abbé de La Porte et du Port du Tertre jusqu'en 1753.
Le critique littéraire
L'année 1754 marque la naissance de l'Année littéraire, l’œuvre de sa vie qu’il dirigea jusqu’à la fin de sa vie en 1776, ouvrage que Fréron lui-même qualifie "d'important, lucratif et glorieux".
Ayant rompu son contrat qui le liait à Duchesne, Fréron travaille désormais avec le libraire Lambert. La première feuille de l'Année littéraire paraît le 03 février.
À travers cette œuvre, Élie Fréron examine, condamne ou préconise les idées et les projets du siècle des Lumières. Il y critique vivement la littérature de son temps en la rapportant aux modèles du XVIIe siècle et combattait les philosophes des Lumières au nom de la religion et de la monarchie, réunis principalement autour de Diderot et son Encyclopédie.
Le périodique eut, d’abord, beaucoup de succès et Fréron gagna très bien sa vie. Il habitait une superbe maison rue de Seine, ornée de magnifiques lambris dorés, et faisait très bonne chère, recevant à sa table le duc de Choiseul, le duc d’Orléans ou le roi Stanislas.
Fréron devient le chantre des traditions littéraires et religieuses du Grand Siècle. Le succès est immédiat et l'Année littéraire devient au fil des ans une revue puissante, redoutée et qui apporta à Fréron renommée et fortune.
Fréron et Voltaire, ennemis jurés
Fréron était un brillant journaliste, aussi caustique que Voltaire… Tous deux étaient à la fois la victime et le persécuteur de l’autre... (sudouest.fr)
Fréron s’attaqua principalement à Voltaire qu’il avait déjà décrit dans les Lettres sur quelques écrits du temps "sublime dans quelques-uns de ses écrits, rampant dans toutes ses actions". La critique fut ensuite reprise à chaque numéro de l’Année littéraire, souvent mordante mais toujours exprimée avec sang-froid et sur un ton de courtoisie.
En 1760, une grande bataille éclate entre Fréron et Voltaire à la suite d'une comédie de Palissot appelée les Philosophes qui ridiculise la doctrine de l'Encyclopédie.
Voltaire, qui supporte très mal les attaques, riposte avec une extrême violence. Il fit contre Fréron une virulente satire, Le Pauvre diable (1758), long pamphlet où Fréron y est qualifié de "vermisseau né du cul de Desfontaines", ainsi qu'une pièce de théâtre, Le Café ou l'Écossaise (1760, par Voltaire sous le pseudonyme de M. Hume), où Fréron est représenté par le personnage de "Wasp1", espion et délateur, coquin envieux et vil, toujours prêt à calomnier à prix d’argent dans son journal l’Âne littéraire. La pièce, traduite en plusieurs langues, va connaître un succès inattendu en Europe.
Fréron assistera aux deux premières représentations : si sa femme s’évanouit devant la vigueur de l’attaque, lui-même ne perdit pas son sang-froid et fit de la pièce un compte rendu ironique et correct.
"Écrivain pauvre et sans protecteur", Voltaire ? On peut dire en tout cas qu’il avait un sens aigu de la victimisation. Il récidive dans une autre comédie, intitulée « L’Écossaise » (1760), où il décrit Fréron comme un fripon qui subsiste de chantage et de moyens douteux. Il ne se contente pas de ces propos au vitriol : il use à l’égard de Fréron de calomnies et de dénonciations plus ou mois anonymes qui eurent parfois des conséquences graves pour son ennemi préféré : interdiction temporaire du journal, voire emprisonnement à la Bastille ou à Vincennes. (autre extrait sudouest.fr)
Théâtre - L'écossaise (ou Le Café), comédie de Voltaire : Cette pièce méconnue fut créée à la Comédie Française en juillet 1760
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Mais la haine qu'entretiennent les deux hommes est vivace. Elle va perdurer encore longtemps sous la forme de petites phrases assassines (prose) et de vers destructeurs (vers). En 1763, Voltaire décocha à Fréron l'épigramme suivante, restée célèbre :
L’autre jour au fond d’un vallon,
Un serpent piqua Jean Fréron ;
Que croyez-vous qu’il arriva ?
Ce fut le serpent qui creva2.
Voir Haïku de Yantra
La guerre des journalistes
Ses articles jugés trop insultants conduisirent Fréron sous les verrous.
Notre culture, jusqu’à ces dernières décennies, nous a fait voir le XVIIIe siècle comme un bloc : celui des Lumières, de Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau, d’Alembert… Hors de ces « phares », point de salut. A peine le nom de ceux qui n’appartenaient pas à cette mouvance étaient-ils mentionnés : Palissot, Le Franc de Pompignan… Rien ou presque ne leur était consacré dans les manuels de littérature. C’est un peu comme si dans deux siècles, d’éventuels universitaires résumaient la pensée de notre époque à celle de Sartre, Foucault, Bourdieu ou Badiou ! Pour la postérité, l’éclat des Lumières a éclipsé tout ce qui ne relevait pas de ce courant, mais le XVIIIe siècle eut aussi ses Zemmour, ses Onfray, ses Finkielkraut : Fréron fut de ceux-là, et...
le premier de tous tant ses combats homériques contre Voltaire, Diderot et tout le clan des encyclopédistes l’érigèrent en figure de proue de ceux qui, dans l’ambiance de dénigrement général de toutes les valeurs établies, demeuraient fidèles au trône et à l’autel.
« L’Année littéraire » fut l’arme et le gagne-pain de Fréron pendant plus de vingt ans. Avec des interruptions quand son permis d’imprimer fut suspendu par la censure ou que ses articles jugés trop insultants conduisirent leur auteur sous les verrous.
En effet, n’allons pas imaginer que Fréron, sous prétexte qu’il défendait la monarchie et la religion contre ceux qui les dénigraient, bénéficia de la protection du roi, de ses ministres ou du haut clergé : tous préféraient accorder leurs faveurs à ceux dont les écrits étaient dans l’air du temps et dont la pensée devait, dans un avenir proche, conduire à l’effondrement du régime. Outre l’assentiment de ce qu’on nommera plus tard « la majorité silencieuse », Fréron n’eut d’autre soutien officiel que celui de la reine Marie Lesczinska et de son père Stanislas, ancien roi de Pologne, alors duc de Lorraine. C’est d’ailleurs en hommage à ce monarque déchu puis étroitement recasé que Fréron nomma son fils Stanislas (Fréron s’était marié en 1751 avec une jeune orpheline de Quimper, Thérèse Guyomar. Le roi Stanislas fut le parrain de son fils.) (sudouest.fr)
Mais Voltaire et le parti philosophique usèrent également contre Fréron de leurs puissants relais au Gouvernement et dans la haute administration, notamment le directeur de la Librairie, Lamoignon-Malesherbes. Fréron, ayant perdu plusieurs de ses protecteurs, restait protégé par la reine Marie Leszczyńska et par son père le roi Stanislas, quoique ce dernier fût ami des Philosophes. Malgré cela, l’Année littéraire subit de nombreuses suspensions et Fréron quelques jours d’emprisonnement à la Bastille et au For-l'Évêque. Le journal périclita. En 1766, Fréron s’était remarié avec une cousine, Annette (dite Annetic) Royou, qui s’efforça de mettre de l’ordre dans ses affaires. Mais en définitive, le Garde des Sceaux, Hue de Miromesnil, ordonna en 1776 la suppression de l’Année littéraire. Fréron en subit une telle contrariété qu’il mourut peu après. Ses ennemis ont toutefois incriminé une attaque de goutte, résultat de durables excès de table et de boisson.
L'une des dernières attaques de Fréron consista en une édition du Commentaire sur La Henriade (Paris, 1775) que La Beaumelle n’avait pu mener à son terme avant de mourir en 1773.
Au cours des années 1770, il publie son Histoire de l'Empire d'Allemagne (1771) en 8 volumes. L'Année littéraire va connaître des difficultés financières et des suspensions répétées.
Fréron est malade et décède peu de temps après la suppression de ses lettres, le 10 mars 1776 à Montrouge (actuel département des Hauts-de-Seine). En 1776, c'est la seconde épouse d'Elie Fréron, Anne-Françoise Royou qui devient directrice de publication de l'année littéraire jusqu'en 1790 où le journal disparaît.
A sa mort, l'un de ses mémorialistes lui dédia cette épitaphe.
« Du mauvais goût, censeur impitoyable
De l'orgueil littéraire, il dédaigna les cris,
Sa plume, aux écrivains le rendit redoutable
Et son cœur cher à ses amis. »
Pour la page :
- Wikipédia : Élie Fréron [https://fr.wikipedia.org/wiki/Élie_Fréron]
- Pour plus d'infos et précisons sur la vie de Fréron, voir [https://www.quimper.bzh/1050-un-quimperois-celebre-et-meconnu-elie-freron.htm]
- Pour plus d'infos et de précisions sur la rivalité Fréron/Voltaire, voir [https://www.sudouest.fr/2018/11/15/qui-etait-elie-freron-le-zemmour-des-lumieres-5569400-10275.php]
En 2016, l’essayiste Malik Bezouh, d’origine algérienne et Frère Musulman repenti écrivait : « J’ai été sauvé, écrivait-il, par le génie français, grâce à des auteurs comme Pierre Bayle, Bossuet, Louis Veuillot, ou encore Elie Fréron, un philosophe du traditionalisme ouvert qui s’était opposé à Voltaire. » Tiens donc !
Réflexe aussi courant désormais que celui d’un honnête homme du XVIIIe siècle ouvrant l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. (extrait sudouest.fr)
Malik Bezouh présente sa note : Crise de la conscience arabo-musulmane
YouTube 07 octobre 2015
[https://www.youtube.com/watch?v=i7n8X-tEb4o]
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Wikipédia :
Fréron avait épousé, en 1751, une jeune orpheline quimpéroise, Thérèse Guyomar. Ils eurent un fils, Louis-Marie Stanislas Fréron qui joua un rôle sous la Révolution française : surnommé le « Missionnaire de la Terreur », il fut notamment l’instigateur de la terrible répression de Toulon fin 1793.
Élie Fréron fut reçu apprenti franc-maçon en décembre 1743 puis maître-maçon le 26 février 1744 à la loge "Procope"3, célèbre café parisien des Fossés-Saint-Germain où se réunit un grand nombre de Francs-maçons du monde des Lettres. En avril 1745, Fréron sera orateur de la Grande Loge de France.
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Notes de Wikipédia
1 Le nom de "Wasp" était censé désigner, par analogie avec "frelon", Fréron lui-même, mais celui-ci, avec un sérieux pince-sans-rire, joue les lexicologues dans l’article de compte rendu de la pièce, pour expliquer qu’en anglais, "Wasp" signifie… "frelon" ou "guêpe".
2 Fréron n'était d’ailleurs pas en reste. On cite parfois (mais ce mot est aussi attribué à Piron) l'anecdote suivante, soulignant la vivacité langagière de Fréron. Voltaire s'étant aperçu qu'il était invité à la même soirée que Fréron, voulut se décommander ; l'apprenant, Fréron promit de se tenir et de ne prononcer que trois mots. Le pusillanime Voltaire, rasséréné, répondit alors à l'invitation où il engloutit une énorme portion d'huîtres en concluant : "Madame, vos huîtres sont si bonnes que j'en mangerai autant que Samson tua de Philistins". Mal lui en prit, car Fréron, qui n'avait pas desserré les dents jusqu'alors, ajouta : "Avec même mâchoire", ce qui mit les rieurs de son côté.
3 Jacques Brengues, Duclos et Fréron frères ennemis, Dix-huitième Siècle, n° 2, 1970, p. 201 (lire en ligne sur Persée [archive])
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Sources
- Qui était Élie Fréron (1718-1776) ? (sudouest.fr novembre 2018) [archive sans médias]
- Un Quimpérois célèbre et méconnu, Elie Fréron [archive] [archive plus ancienne]
- Wikipédia
Documentation
- Dictionnaire des journalistes
- [http://dictionnaire-journalistes.gazettes18e.fr/journaliste/316-elie-freron]
- Élie-Catherine Fréron : œuvres et documents de et sur lui :
- Élie-Catherine Fréron (1718-1776) - BnF Data
- Élie-Catherine Fréron (1718-1776) - Presses universitaires de Rennes
- Œuvres d'Élie Fréron (Wikipédia)
- Page de recherche Google "Élie Fréron" [https://www.google.com/search?q=Elie+Fréron]