• 2018-19 Femmes, féminisme et... vocabulaire

     

    Féminisme !!!

    11 mars 2018 : EXCELLENT !!! ***

    « Dans sa théorie des pulsions, Freud dit que le besoin d’extériorisation de la sexualité trahit souvent un grave déficit de celle-ci dans l’intimité maritale. Les maris ou amants de mesdames Schiappa, El Kohmri et Bachelot l’auraient-ils petite et inefficace ?
    Vous voulez l’égalité homme-femme ? Ce n’est pas en faisant étalage public de gaudriole que vous l’obtiendrez. Et commencez d’abord par vous pencher sur le cas des plus démunies face à l’agressivité sexuelle de leurs hommes, les musulmanes. Et si, comme il semble, vous en ignorez tout, je vous recommande la lecture du livre de Carmen Ben Laden, ex belle-sœur du célèbre terroriste, « Le voile déchiré ». Vous y apprendrez que les femmes musulmanes aspirent à trouver plus de liberté et d’égalité dans la sexualité, mais contrairement à vous qui le faites dans la vulgarité la plus cynique, elles le font dans la dignité.
    En y réfléchissant, non, laissez tomber, vous seriez incapables de prendre leur défense. Il faudrait vous opposer aux contraintes, aux brutalités et aux situations d’infériorité que l’islam impose à ces pauvres femmes, et c’est contraire à votre idéologie rétrograde. »

    Les monologues du vagin Minurne-Résistance 11 mars 2018 [en cache]

    Schiappa dans le « monologues du vagin » Échelle de Jacob mars 2018

     

    « Beyoncé est-elle féministe ? » : j’ai survécu à une réunion d’Osez le féminisme

    Causeur 05 novembre 2018 [archive]

    "Une femme qui se croit intelligente veut l'égalité avec les hommes. Une femme intelligente y renonce." Colette

    Commentaires du 05 novembre 2018

    Flo : "Vous avez survécu ? Moi je serais morte. Je ne peux même pas lire l'article. Je fais une allergie grave à la connerie." • Antimisandre à Flo : "Vous devriez : ça a au moins le mérite de faire sourire. Ça permet aussi de mesurer le degré d'indigence de ces tartes." • Albéric de la Bastide à Flo : "Pas pu lire jusqu'au bout !" (Ce n'est pas de la faute de l'auteur !)

    H.P.L. : Vertigineux d'imbécilité. Mon passage préféré, c'est quand ces précieuses ridicules s'imaginent que l'alimentation ou l'exercice sportif se transmettent dans les gènes. C'est nettement plus aberrant que d'imaginer que le soleil tourne autour de la Terre. Et ce sont ces gens qui veulent décider qui a inventé quoi. L'idée de compétition sportive mixte n'est pas mal non plus. Chiche ? On exterminerait tout le sport féminin. Le 100ème mondial homme au Tennis n'a pas battu la 1ère mondiale femme pour rien... Déjà que les femmes sportives se plaignent (à raison) de la compétition déloyale des transsexuels... Le dimorphisme sexuel existe partout, et ce n'est pas pour rien - des fois c'est dans un sens, et des fois c'est dans un autre, comme avec les lionnes qui chassent plus que les lions, les araignées qui font dix fois la taille du mâle, ou les mantes religieuses qui décapitent puis bouffent le mâle pendant l'acte sexuel. Chez l'homme, la différence ne fait pas l'infériorité : pourquoi être plutôt chargée de l'organisation du foyer et des enfants serait "inférieur" ? Pourquoi se battre à la guerre serait "supérieur" ?

    Patrique : "Le clitoris c'est un pénis qui n'a pas poussé. D'où les complexes d'infériorité de ces prétentieuses ridicules." • H.P.L. à Patrique : "C'est ça qui est amusant : ces femmes se comparent aux hommes par rapport à des critères masculins, au lieu de voir tout ce que les femmes ont accompli dans l'histoire et la société par rapport aux critères féminins. Elles haïssent la féminité et tout ce qui a trait aux femmes."

    Mon commentaire : Des jouets "sexistes" ? Pensent-ils, ces jouets, ont-ils des opinions ? Ça me fait penser à ce titre dans un journal, il y a quelques jours "Un agriculteur tué par son tracteur" : horreur, il faut vite arrêter ce meurtrier avant qu'il ne fasse d'autres victimes !!! (Il est vrai que de nos jours Syntaxe n'a plus son mot à dire - sainte-Taxe est bien plus lucrative...). Quant à hommage vs "femmage" * (c'est tout de même rigolo !), pourquoi ne pas plutôt le remplacer par "humage" (pour "humain", plus neutre) ? Ah zut, la place est déjà prise...

    * Voir

    « Rendre femmage », ou quand le féminisme sombre dans l’imposture linguistique

    Le Figaro 05 avril 2019

    Dans un tweet du 29 mars dernier, l’association Osez le féminisme ! affirmait vouloir « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Mais le linguiste Jean Szlamowicz s’insurge : féminiser les mots comportant la racine « homme » n’a aucun sens selon lui, et cela dessert en réalité les vrais combats féministes à mener.

    [...] Il n’y a aucune réalité pratique envisageable à l’emploi de femmage. D’une part parce que c’est un néologisme de militant et non une évolution naturelle de la langue. D’autre part, parce que cela active un motif sexuel dans un signe linguistique qui, sémantiquement, n’en comporte pas aujourd’hui. Dans le sens contemporain du mot « hommage », où voit-on un homme, où voit-on une femme ?

    Même l’étymologie montre une inversion dans l’emploi « féministe » proposé par les militants : la racine de hommage se fonde initialement sur celui (ou ceux) qui rend(ent) l’hommage, pas celui ou celle qui le reçoit.

    Vidéo : Faut-il rendre femmage au lieu d'hommage ?

    "'Je me souviens d'Agnès Varda', iconoclaste et (en même temps) évidente, d’un cinéma poétique et (en même temps) politique où les corps exultent et (en même temps) les esprits se retiennent, fraîche et (en même temps) complexe figure dans une Nouvelle Vague si sentencieuse et (en même temps) bavarde... bien ! bien..." (Réaction de l'internaute Erasme20 29/03/19)

    Voir aussi

    Quand des mouvements féministes s'égarent dans le féminisme grammatical

    Boulevard Voltaire 04 avril 2019 *** [archive]

    Si, à l’origine, le mot « hommage » désigne la promesse de fidélité et de dévouement d’un vassal envers son seigneur, il a rapidement pris le sens de témoignage de reconnaissance, de gratitude envers quelqu’un. Il faut avoir l’esprit tordu pour le rattacher, dans son acception actuelle, à l’homme et inventer ce néologisme. C’est, au contraire, une façon de cliver la société et d’exercer une intimidation sexiste. Qu’un mot possède la racine « homme » ne constitue en rien une injustice qu’il faudrait corriger.

    [...] Ces pseudo-féministes, plutôt que de s’occuper des vrais problèmes de la condition féminine, sombrent dans le ridicule. Au point qu’on peut se demander si elles ne cherchent pas à détruire tous nos repères, jusque dans le langage. Au cas où elles persisteraient dans leurs égarements, deux questions à résoudre : comment ne pas donner toujours la priorité aux femmes, dans l’expression « celles et ceux » pour remplacer « ceux », chérie par nos politiciens ? Quel mot employer pour rendre hommage à une personne qui ne se reconnaît dans aucun sexe ?

     

    Féminisation des noms de métier : révolution sous la Coupole

    Boulevard Voltaire 22 février 2019 *** [archive]

    0-0-citations diverses et variées

    Institut de France - Académie française et pont des Arts

    « ... qu’il me soit permis de rappeler que le genre grammatical n’est pas le sexe mais un principe de classification. Que la théorie de la "sexuisemblance" est une invention de Damourette et Pichon. Que le masculin a une fonction "extensive" et n’est pas le foudre de guerre qui "l’emporte". Que c’est l’article qui, en l’absence de tout autre critère formel, est la seule marque du genre. Qu’un métier, ce n’est pas la même chose qu’un titre et une fonction. Que nos femmes sont reconnaissables entre mille. Que l’Académie féminise son lexique depuis toujours et toilette plus que ménagère au monde sans que, pour autant, le taux de chômage baisse. Heureusement, d’ailleurs, que le mot France est féminin. Avec le mot "autrice", employé au XVIIe siècle, qui réapparaîtrait, on utilise le suffixe latin -trix, correspondant au suffixe masculin -tor. Parfait ! Sauf qu’on fait d’un acte créateur un métier. Quant à 'la procureur(e)', mot masculin du lexique qui désigne une fonction, que ferait-on, sinon indiquer naïvement le sexe de la dame qui l’occupe ? Laissons (donc) "faire le temps, ta vaillance et ton roi" (Le Cid). C’est-à-dire l’usage… et l’élégance, comme aime à le rappeler "Madame le Secrétaire" de l’Académie. Nos femmes réfléchissent-elles qu’elles se "discriminent" en demandant une féminisation des fonctions dont le lexique donne, avec l’article, le genre grammatical ? »

    Marie-Hélène Verdier Agrégée de Lettres Classiques

    Voir aussi 'sous la Coupole' : la hussarde n'est pas le féminin du hussard [archive]

     

    Sexualité : les lobbies font la guerre, pas l’amour

    Causeur 12 avril 2019 [archive]

    Quelques commentaires

    « [...] Tout tend à ce que les femmes soient représentées par des lesbiennes, les hommes par des gays, et l'humanité par des trans et autres "pangenres".
    À cela s’ajoute une ‘‘volonté’’ d’avilissement de l’Église, non seulement parce qu’elle va ‘‘à contre-sens de la philosophie de la liberté sexuelle’’, mais aussi et surtout parce qu’elle symbolise la culture européenne.
    L’islamophobie et le projet migratoire ne sont conçus qu'afin d'accélérer la destruction de la population européenne et de sa civilisation.
    ‘‘Dans leur combat acharné pour imposer à tous une sexualité libre-service, les lobbies progressistes 'sexualistes' sont les complices, parfaitement conscients, de puissances économiques. Ils sont du même monde.’’
    Mais quel but poursuit le progressisme ? ‘‘S’ils deviennent totalitaires, et ils n’en sont pas loin, bienvenue chez Orwell’’ ? » (internaute Eustache 12/04/19)

    « Comme tous les mots en "isme", le féminisme prend tous les sens qu'on veut, de la réduction des inégalités à la négation des sexes.
    C'est pour ça que j'écrivais il y a peu que je n'étais plus féministe, constatant que toutes les sectes récupéraient ce terme pour imposer leurs visions totalitaires. Il y a désormais des féminismeS, mais plus de féminisme: la défense des droits des femmes ne s'y reconnaît plus.
    Eh oui, le féminisme peut tuer, et en plus en toute impunité : confer Mme Sauvage, condamnée par des jurés populaires mais graciée par un président impopulaire, soumis à la bien-pensance et en quête de popularité.
    Mon féminisme s'exprime simplement : Il y a des femmes et il y a des hommes, parce que nous sommes une espèce sexuée non hermaphrodite, et les sociétés humaines sont fondées sur ces bases génétiques indéniables.
    Ils doivent avoir les mêmes droits, mais un homme et une femme, c'est pas pareil, ni physiquement, ni physiologiquement, ni psychologiquement, ni socialement.
    Il faut préserver les différences, sources de richesses et de progrès. » (internaute À mon humble avis 12/04/19)

     

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    Voir

    2017 Femmes, viols, sexe et... culture

    Féminisme anti-français

    Inclusive... le point noir exclusif

    Inclusive.e.e.e...

    Inclusive (commentaire)

     

     

     

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